Code du travail

Section 5 : Mobilité volontaire sécurisée

Article L1222-12

Ce texte est une simplification générée par une IA.
Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.

Mobilité volontaire sécurisée dans les entreprises

Résumé Un salarié peut demander à travailler ailleurs pour une période, en gardant son emploi. Si l'employeur refuse deux fois, le salarié peut prendre un congé spécial.

Dans les entreprises et les groupes d'entreprises, au sens de l'article L. 2331-1, d'au moins trois cents salariés, tout salarié justifiant d'une ancienneté minimale de vingt-quatre mois, consécutifs ou non, peut, avec l'accord de son employeur, bénéficier d'une période de mobilité volontaire sécurisée afin d'exercer une activité dans une autre entreprise, au cours de laquelle l'exécution de son contrat de travail est suspendue.

Si l'employeur oppose deux refus successifs à la demande de mobilité, l'accès au congé spécifique mentionné à l'article L. 6323-17-1 est de droit pour le salarié, sans que puissent lui être opposées la durée d'ancienneté mentionnée à l'article L. 6323-17-1 ou les dispositions définies par décret en Conseil d'Etat.

Article L1222-13

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Modalités de la période de mobilité volontaire sécurisée

Résumé Un document ajoute des détails à un contrat de travail pour une période de changement volontaire, incluant les dates et les conditions de retour.

La période de mobilité volontaire sécurisée est prévue par un avenant au contrat de travail, qui détermine l'objet, la durée, la date de prise d'effet et le terme de la période de mobilité, ainsi que le délai dans lequel le salarié informe par écrit l'employeur de son choix éventuel de ne pas réintégrer l'entreprise.

Il prévoit également les situations et modalités d'un retour anticipé du salarié, qui intervient dans un délai raisonnable et qui reste dans tous les cas possible à tout moment avec l'accord de l'employeur.

Article L1222-14

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Retour à l'entreprise d'origine après mobilité sécurisée

Résumé Le salarié qui revient dans son ancienne entreprise après une mobilité garde son poste ou un poste similaire avec le même salaire.

A son retour dans l'entreprise d'origine, le salarié retrouve de plein droit son précédent emploi ou un emploi similaire, assorti d'une qualification et d'une rémunération au moins équivalentes ainsi que du maintien à titre personnel de sa classification. Il bénéficie de l'entretien professionnel mentionné au I de l'article L. 6315-1.

Article L1222-15

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Rupture du contrat de travail à l'issue de la mobilité volontaire sécurisée

Résumé Si on ne revient pas à son ancienne entreprise après une période de mobilité, on est considéré comme démissionnaire.

Lorsque le salarié choisit de ne pas réintégrer son entreprise d'origine au cours ou au terme de la période de mobilité, le contrat de travail qui le lie à son employeur est rompu. Cette rupture constitue une démission qui n'est soumise à aucun préavis autre que celui prévu par l'avenant mentionné à l'article L. 1222-13.

Article L1222-16

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Communication des demandes de période de mobilité volontaire sécurisée

Résumé Le patron envoie deux fois par an au comité les demandes de mobilité et les réponses

L'employeur communique semestriellement au comité social et économique la liste des demandes de période de mobilité volontaire sécurisée avec l'indication de la suite qui leur a été donnée.