Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.
Directeur de la direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) des Alpes-Maritimes
L'emploi de directeur départemental adjoint de la direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) des Alpes-Maritimes est susceptible d'être prochainement vacant.
Intérêt du poste
L'équipe de direction de la direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) des Alpes-Maritimes est composée du directeur, du directeur départemental adjoint et du directeur départemental adjoint, délégué à la mer et au littoral et référent sécurité défense. Sous la houlette du directeur, cette équipe élabore et assure collectivement la mise en œuvre de la stratégie de la DDTM, en recherchant une large polyvalence en son sein, et en s'appuyant sur une communauté de travail composée de près de 220 agents.
Aux côtés du directeur qu'il seconde et supplée, le directeur départemental adjoint exerce ses compétences sur l'ensemble du périmètre d'intervention de la direction (agriculture, urbanisme, logement, développement territorial, transition énergétique et écologique, activités maritimes et littorales), sur un territoire à enjeux importants. Il contribue à la définition des stratégies et au pilotage de la structure.
L'intérêt du poste réside dans l'intégration des différentes politiques sur le territoire, la variété des dossiers traités, les partenariats à nouer avec les services de l'Etat, les collectivités territoriales et les acteurs socio-économiques dans le contexte de la transition à impulser pour adapter nos modes de développement territorial au changement climatique.
Missions
Les missions de la DDTM sont définies à l'article 3 du décret n° 2009-1484 du 3 décembre 2009 relatif aux directions départementales interministérielles.
Dans ce cadre, les liens que le DDTM tisse avec le corps préfectoral et les acteurs locaux, notamment les élus et les organisations socioprofessionnelles, constituent un élément important du poste.
La taille de la direction ainsi que l'évolution régulière de ses missions, de son organisation et de ses effectifs, appellent une grande implication managériale de l'équipe de direction et une capacité de dialogue dans le cadre d'un dialogue social de qualité.
Environnement
Le poste est situé à Nice, siège de la DDTM, qui est implanté au sein de la cité administrative (CADAM), siège de la préfecture et du conseil départemental.
Le département des Alpes-Maritimes comprend 163 communes et est peuplé de 1 111 390 habitants. L'été, la population passe à près de 2 millions d'habitants. C'est un département très urbain, avec une pression très importante sur la bande littorale, comprenant plus de 90 % de la population, constitué d'importantes zones de moyenne et haute montagne. Il est couvert par un grand nombre de protections au titre de l'environnement (un tiers du territoire) et il est soumis à la fois à la loi " littoral " et à la loi " montagne ". La maîtrise de l'artificialisation des terres est un sujet majeur pour le département des Alpes-Maritimes.
La ville de Nice est la cinquième ville française en terme de population, avec 350 000 habitants, et la métropole de Nice-Côte d'Azur, première métropole à avoir été créée en France en 2011, compte 540 000 habitants. Dernière zone d'extension d'urbanisation possible pour l'agglomération niçoise et le département, la Plaine du Var fait l'objet d'une opération d'intérêt national (10 000 ha) portée par l'Etablissement public d'aménagement " Nice Ecovallée ".
Le littoral des Alpes-Maritimes, limité à un trait de côte de 125 kilomètres, présente plusieurs particularités nautiques propres à la Côte d'Azur. Les activités de plaisance, avec la particularité d'un secteur du yachting professionnel important, sont vecteurs de développements économiques forts pour le département. La pêche maritime est une activité modeste, alors que l'aquaculture marine occupe une place non négligeable. L'occupation du littoral des Alpes-Maritimes est soumise à une très forte pression (commerciale, portuaire, touristique, urbanistique) qui nécessite une forte implication des services de l'Etat pour veiller à la protection du domaine public maritime.
Le développement exponentiel des Alpes-Maritimes, dans les années 1960-1980, a conduit à une consommation excessive du foncier, ce qui le rend aujourd'hui rare et très cher. La maîtrise de l'artificialisation des terres est un sujet majeur pour ce département qui dispose de la plus grande surface de zones naturelles à forts enjeux (Parc national du Mercantour, Parc naturel régional des Pré-Alpes d'Azur, zones Natura 2000…). Cette forte pression sur l'occupation des sols a pour conséquences un manque de logements, notamment sociaux avec un taux de 12,33 % et des prix du foncier et de l'immobilier proches de ceux de la première couronne parisienne. Ce déficit de logements à prix abordable constitue un frein perceptible à l'attractivité des Alpes-Maritimes, au même titre que les difficultés propres au département en matière de transports et déplacements. Des projets ANRU de grande ampleur sont en cours sur les principales agglomérations (Nice, Grasse et Cannes).
Un autre des enjeux forts est la revitalisation des centres-villes et des petites villes du moyen et arrière-pays, deux conventions ACV (action cœur de ville) sont en cours à Grasse et Vallauris. L'accompagnement du préfet et des collectivités dans ces démarches et dans l'élaboration des documents de planification (Schéma de cohérence territoriale [SCOT], Plan local d'urbanisme intercommunal [PLUi], Programme local de l'habitat [PLH]…) fait l'objet d'une attention particulière. Les stratégies territoriales élaborées à l'échelle des SCOT doivent pouvoir interagir avec les enjeux des territoires voisins, renforçant ainsi l'importance d'une pratique et d'une gouvernance de l'inter-SCOT.
Le département des Alpes-Maritimes est le territoire métropolitain le plus exposé aux risques naturels majeurs, puisqu'aucune commune n'en est exempte et que 83 % des 163 communes sont concernées par au moins 4 risques naturels. Outre l'appui administratif et technique qu'elle apporte au préfet et aux territoires, la DDTM est particulièrement investie dans la gestion opérationnelle de crise, en apportant son expertise et son analyse pour faciliter l'aide à la décision. Les fortes intempéries récurrentes et notamment ces dernières années - celles de 2015, 2019 et surtout la tempête Alex des 2 et 3 octobre 2020 - ont fragilisé le territoire, et engagent l'Etat et les collectivités locales à devoir penser ensemble une nouvelle urbanisation, plus résiliente, prenant en compte les conséquences du changement climatique, répondant aux besoins de développement, facilitant les déplacements/transports, la production de logements, le développement d'une agriculture en circuits courts, et préservant les espaces naturels et forestiers.
Le département dispose d'un capital environnemental exceptionnel, riche et encore préservé, notamment sur le moyen et arrière-pays dans le Parc national du Mercantour, le Parc naturel régional des Pré-Alpes d'Azur et les nombreuses zones Natura 2000, qu'il convient de protéger, voire reconquérir sur la partie littorale, en conciliant avec les besoins nécessaires au développement. Un CTE (contrat de transition écologique) a été signé sur le pays de Grasse, premier structuré sur la thématique de la biodiversité et du changement climatique.
Dans le contexte national sensible de la profession agricole, en considérant sa spécificité dans les Alpes-Maritimes, la DDTM est fortement impliquée pour maintenir une relation de proximité avec la chambre d'agriculture et les institutionnels associés, afin d'anticiper et relayer les difficultés et préoccupations locales de la profession. Une attention particulière est portée à la préservation et la reconquête de terres agricoles, la lutte contre la prédation du loup et de la nécessaire conciliation entre soutien à l'économie agricole et pastorale et protection des espèces de grands prédateurs ainsi qu'à la prolifération des suidés et la lutte contre les dégâts aux récoltes. Il convient de noter que le département des Alpes-Maritimes demeure celui où la présence et la prédation du loup est la plus importante au niveau national. Pour garantir une situation apaisée entre les éleveurs et les associations de protection environnementale, le directeur doit s'impliquer personnellement dans ce dossier qui est de portée nationale.
Sous l'autorité du préfet de département, la DDTM entretient, à l'échelle régionale, des liens étroits avec la direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (DRAAF), la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DREAL) et la direction interrégionale de la mer (DIRM).
Au plan départemental, elle travaille de façon rapprochée avec les services de la préfecture et les sous-préfets, le secrétariat général commun départemental (SGCD), la direction départementale de l'emploi, du travail et des solidarités (DDETS), la direction départementale de la protection des populations (DDPP), l'unité interdépartementale de la DREAL, la délégation territoriale de l'agence régionale de santé (ARS).
La DDTM travaille également avec de nombreux partenaires institutionnels : conseil départemental, conseil régional, métropole Nice-Côte d'Azur, association des maires, ensemble des collectivités du département, EPA " Nice Ecovallée ", chambre d'agriculture, chambre de commerce et d'industrie, syndicats professionnels, associations de protection de l'environnement, opérateurs de l'Etat (agence de services et de paiement (ASP), office français de la biodiversité (OFB), agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME), banque des territoires, agence de l'eau Rhône Méditerranée Corse (AERMC), agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT), centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (CÉRÉMA).
Profil recherché/Compétences
Les candidats devront posséder une solide expérience (au moins 6 ans) d'encadrement direct d'un service composé d'équipes pluridisciplinaires, portant des politiques publiques différenciées. Ils devront témoigner d'une expérience en matière de portage intégré d'enjeux de politique publique multiples sur un territoire ou un projet donné. Les candidats devront également être en mesure d'assumer des responsabilités de direction stratégique, de conduire des négociations de haut niveau avec des décideurs publics ou privés et de représenter le préfet en situation complexe, en environnement sensible, voire en contexte de crise.
En outre, l'environnement politique particulièrement sensible du territoire exige des candidats un sens accru de la loyauté, de la disponibilité et du service public, ainsi qu'une grande capacité à l'aide à la décision dans des contextes difficiles voire dégradés.
La variété des expériences et la diversité du parcours déjà effectué constitueront un critère de choix déterminant.
De plus, sont particulièrement attendues les compétences suivantes :
- une expérience professionnelle dans la mise en œuvre de politiques publiques portées par la DDTM ;
- une capacité à piloter des projets et à faire prévaloir les enjeux des politiques publiques ;
- une aptitude au travail en réseau et en interministérialité, une aptitude à la négociation avec des partenaires variés ;
- une capacité au pilotage de projets d'aménagements structurants comportant des enjeux hydrauliques ;
- une aptitude au management et l'animation d'équipes pluridisciplinaires ;
- une aptitude à la communication, à l'écoute et au dialogue social ;
- une capacité d'initiative, d'écoute et de décision, notamment en situation d'urgence ;
- une capacité d'anticipation et de vision prospective ;
- loyauté, réactivité, facultés d'analyse, de synthèse et d'arbitrage, capacité à être force de proposition.
Conditions d'emploi
Cet emploi, à pourvoir dans les conditions prévues par le décret n° 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l'Etat (articles 3 à 9 et 47 à 49 notamment), et par l'article 7 de l'arrêté du 30 juillet 2021 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l'intérieur, est classé dans le groupe IV en application des dispositions de l'arrêté du 29 décembre 2009 modifié, fixant la liste et le classement par groupes des emplois de direction des directions départementales interministérielles.
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de quatre ans, renouvelable dans la limite d'une durée totale de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l'objet d'une période probatoire de 6 mois en application de l'article 13 du décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
La rémunération brute annuelle dépend de l'expérience du titulaire de l'emploi. Elle comprend une part fixe brute comprise entre 60 100 € et 107 500 €. Elle peut être augmentée par une part variable annuelle dont le montant maximum est fixé à 8 280 € bruts, sous réserve de la réforme de la haute fonction publique en cours.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret n° 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l'Etat.
Concernant cet emploi :
- l'autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l'intérieur et des outre-mer ;
- l'autorité dont relève l'emploi est le préfet des Alpes-Maritimes.
Recevabilité des candidatures :
L'autorité de recrutement procède à l'examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L'autorité de recrutement réunit l'instance collégiale prévue à l'article 6 du décret du 31 décembre 2019, qui procède à l'examen des candidatures recevables pour présélectionner les candidats à auditionner. L'instance collégiale est composée :
- du directeur du management de l'administration territoriale et de l'encadrement supérieur ou son représentant ;
- ainsi que de deux membres parmi ceux énumérés ci-après : la secrétaire générale du ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires ou son représentant, la secrétaire générale du ministère de l'agriculture et de la souveraineté alimentaire ou son représentant, le secrétaire général des ministères chargés des affaires sociales ou son représentant et la directrice générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes ou son représentant.
Audition des candidats et choix du candidat retenu :
L'autorité dont relève l'emploi procède ensuite à l'audition des candidats présélectionnés.
A l'issue des auditions, l'autorité d'emploi transmet à l'autorité de recrutement un avis sur les candidats auditionnés afin de lui permettre de proposer à l'autorité investie du pouvoir de nomination le nom du candidat susceptible d'être nommé.
Nomination par l'autorité de recrutement :
A l'issue des auditions et dans un délai de deux semaines, les candidats non retenus pour occuper l'emploi à pourvoir sont informés.
Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis, dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République française, par voie dématérialisée :
- pour les candidats relevant du ministère de l'intérieur et des outre-mer, ayant accès à son intranet, sur le site MOB-MI accessible à l'adresse suivante : https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?LCID=1036.
Sur le site de MOB-MI, l'avis de vacance est accessible en renseignant les champs suivants :
- mot clé de l'offre : MINT-DDTMA06-2023-66811 ;
- ou catégorie : A + (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d'accéder à tous les avis de vacance sur des emplois de direction de l'administration territoriale de l'Etat publiés par le ministère de l'intérieur et des outre-mer.
- pour les candidats n'ayant pas accès à l'intranet du ministère de l'intérieur, sur le site de la place de l'emploi public : https://place-emploi-public.gouv.fr/.
Sur le site de la PEP l'avis de vacance, référencé MINT_MINT-DDTMA06-2023-66811, est accessible en renseignant les champs suivants :
- mot clé de l'offre : directeur départemental interministériel ;
- catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
- localisation : sélectionner le département concerné par cet avis.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
- une lettre de motivation, celle-ci pourra être enregistrée en formulaire de mobilité ;
- un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
- d'un état des services établi par le service RH du corps d'origine ;
- du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d'origine et dans l'emploi occupé ;
- des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les personnes n'ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
- d'une copie de la carte nationale d'identité ;
- de documents attestant de l'occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
- du dernier contrat de travail ;
- des trois derniers bulletins de salaire.
Déontologie
Conformément à l'article 2 du décret n° 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l'obligation de transmission d'une déclaration d'intérêts prévue à l'article L. 122-2 du code général de la fonction publique, l'accès à cet emploi est soumis au dépôt d'une déclaration d'intérêts préalablement à la nomination.
Le formulaire de la déclaration d'intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l'obligation de transmission d'une déclaration d'intérêts dans la fonction publique de l'Etat peut être téléchargé à l'adresse suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf.
Ce formulaire sera demandé par l'autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à la nomination par l'autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application de l'article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de direction de l'administration territoriale de l'Etat suivront, dans les six mois à compter de leur prise de fonction, un séminaire de prise de poste.
Les personnes n'ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des agents en matière de déontologie, à l'organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu'à la gestion des ressources humaines dans la fonction publique.
Personnes à contacter
Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
- M. Philippe LOOS, secrétaire général de la préfecture des Alpes-Maritimes, Tel. : 04-93-72-24-00, courriel : [email protected] ;
- M. Jocelyn SNOECK, délégué à la mobilité et aux carrières des emplois de direction de l'administration territoriale de l'Etat au ministère de l'intérieur, Tel. : 01-49-27-38-20 ; courriel : [email protected].
Références
Code général de la fonction publique.
Décret n° 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l'Etat.
Décret n° 2008-836 du 22 août 2008 fixant l'échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux administrations de l'Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l'Etat et de ses établissements publics (article 14-I).
Arrêté du 10 janvier 2017 pris pour l'application aux emplois de direction de l'administration territoriale de l'Etat des dispositions du décret n° 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de l'Etat.
Arrêté du 30 juillet 2021 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l'intérieur.
Décret n° 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l'Etat.
Décret n° 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d'avancement et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
Décret n° 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l'échelonnement indiciaire applicable à l'encadrement supérieur de l'Etat.
Décret n° 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l'application au corps des administrateurs de l'Etat des dispositions du décret n° 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de l'Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l'application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l'Etat des dispositions du décret n° 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de l'Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret n° 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d'avancement et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
1 version