Code général des impôts, CGI

Article 1823

Article 1823

Ce texte est une simplification générée par une IA.
Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.

Interdiction du commerce des ouvrages en métaux précieux en cas de récidive

Résumé On ne peut plus vendre des objets en métaux précieux si on a eu trois avertissements pour des infractions à la garantie.

Le commerce des ouvrages en métaux précieux est interdit aux fabricants, marchands, commerçants, affineurs qui ont fait l'objet de plus de deux procès-verbaux relevant des infractions à la réglementation de la garantie.


Historique des versions

Version 3

En vigueur à partir du dimanche 1 juillet 1979

Abrogé le mardi 1 juillet 2025

Le commerce des ouvrages en métaux précieux est interdit aux fabricants, marchands, commerçants, affineurs qui ont fait l'objet de plus de deux procès-verbaux relevant des infractions à la réglementation de la garantie.

Version 2

En vigueur à partir du dimanche 15 août 1954

Ceux qui ont sciemment employé, vendu ou tenté de vendre des timbres mobiles ayant déjà servi sont poursuivis devant le tribunal correctionnel et punis d’une amende de 18.000 F à 360.000 F. En cas de récidive, la peine est d’un emprisonnement de cinq jours à un mois et l’amende est doublée.

Il peut être fait application de l’article 463 du code pénal.

Les dispositions du présent article sont applicables dans tous les cas où un impôt, une taxe ou un droit quelconque recouvré par l’administration fiscale est acquitté au moyen de l’apposition de timbres mobiles.

Version 1

En vigueur à partir du dimanche 30 avril 1950

Ceux qui ont sciemment employé, vendu ou tenté de vendre des timbres mobiles ayant déjà servi, sont poursuivis devant le tribunal correctionnel et punis d’une amende de 6.000 F à 120.000 F. En cas de récidive, la peine est d’un emprisonnement de cinq jours à un mois et l’amende est doublée.

Il peut être fait application de l’article 463 du code pénal.

Les dispositions du présent article sont applicables dans tous les cas où un impôt, une taxe ou un droit quelconque recouvré par l’administration fiscale est acquitté au moyen de l’apposition de timbres mobiles.