Le directeur général de la Caisse des dépôts et consignations,
Vu le code pénal, notamment son article 122-9 ;
Vu le code du travail, notamment son article L. 1132-3-3 ;
Vu le code de justice administrative, notamment son article L. 911-1-1 ;
Vu le code de déontologie de l'Etablissement public de la Caisse des dépôts et consignations ;
Vu la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, notamment ses articles 6 ter A, 11, 25 et 28 bis, ensemble la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l'Etat ;
Vu la loi n° 2016-1691 du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique, notamment ses articles 6, 8, 9, 12, 13 et 16 ;
Vu le décret n° 2017-564 du 19 avril 2017 relatif aux procédures de recueil des signalements émis par les lanceurs d'alerte au sein des personnes morales de droit public ou de droit privé ou des administrations de l'Etat ;
Vu l'arrêté du directeur général de la Caisse des dépôts et consignations du 13 novembre 2009 portant transposition à l'établissement public du statut des personnels ayant conservé le bénéfice des droits et garanties de la CANSSM ;
Vu l'avis du comité technique national de l'établissement public de la Caisse des dépôts et consignations en date du 16 février 2018,
Arrête :