JORF n°0150 du 30 juin 2021

Arrêté du 21 juin 2021

Le ministre de l'agriculture et de l'alimentation,

Vu le règlement (UE) n° 228/2013 du Parlement européen et du Conseil du 13 mars 2013 portant mesures spécifiques dans le domaine de l'agriculture en faveur des régions ultrapériphériques de l'Union ;

Vu le règlement d'exécution (UE) n° 180/2014 de la Commission du 20 février 2014 établissant les modalités d'application du règlement (UE) n° 228/2013 du Parlement européen et du Conseil portant mesures spécifiques dans le domaine de l'agriculture en faveur des régions ultrapériphériques de l'Union ;

Vu le programme POSEI France 2021 approuvé par la Commission,

Arrête :

Article 1

Ce texte est une simplification générée par une IA.
Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.

Période de la campagne d'importation d'animaux vivants

Résumé On peut importer des animaux vivants toute l'année.

La campagne d'importation pour la mesure « aide à l'importation d'animaux vivants » est fixée du 1er janvier au 31 décembre de l'année civile.

Article 2

Ce texte est une simplification générée par une IA.
Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.

Répartition budgétaire entre les régions ultrapériphériques

Résumé Chaque région d'outre-mer reçoit une somme d'argent différente pour un projet.

La répartition budgétaire entre les six régions ultrapériphériques au titre de la campagne mentionnée à l'article 1er est ainsi effectuée :
Guadeloupe : 220 000 € ;
Saint-Martin : 20 000 € ;
Guyane : 220 000 € ;
Martinique : 90 000 € ;
Mayotte : 190 000 € ;
La Réunion : 700 000 €.

Article 3

Ce texte est une simplification générée par une IA.
Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.

Aides à l'importation pour les filières autres que la filière apicole

Résumé L'aide pour importer des animaux dépend de l'animal et de l'île. Pour les abeilles, l'aide couvre 80 % des frais jusqu'à 170 € par reine.

Pour les filières autres que la filière apicole, l'aide est calculée sur la base des quantités importées multipliées par un taux unitaire spécifique à chaque espèce et à chaque DOM.
Les montants d'aides forfaitaires sont définis comme suit :

| Espèces |Montants unitaires en € / unité| | | | | | |---------------------------|-------------------------------|----------|----------|-------|------------|-----| | Guadeloupe | Guyane |Martinique|La Réunion|Mayotte|Saint-Martin| | |Bovins, Bubalins et Buffles| 1 800 | 1 800 | 1 800 | 1 800 | 1 800 |1 800| | Ovins-Caprins | 300 | 340 | 300 | 300 | 340 | 300 | | Porcins | 300 | 360 | 250 | 250 | 250 | 300 | | Œufs à couver | 0,23 | 0,50 | 0,23 | 0,45 | 0,50 |0,45 | | Volailles | 0,48 | 0,50 | 0,48 | 0,50 | 0,50 |0,48 | | Lapereaux | 6 | 10 | 2,5 | 12 | 6 | 6 | | Lapins adultes | 28 | 12 | 20 | 14 | 20 | 28 | | Equins-Asins | 1 500 | 1 500 | 1 500 | 1 500 | 1 500 |1 500|

Le montant de l'aide à l'importation de géniteurs pour la filière apicole correspond à la prise en charge au taux de 80 % des frais d'achat, des frais de transport au stade arrivée sur le territoire de la Guyane, ainsi que des frais d'assurance, dans la limite de 170 € par reine.

Article 4

Ce texte est une simplification générée par une IA.
Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.

Conditions d'éligibilité à l'aide et modalités de dépôt des demandes

Résumé Les règles pour obtenir de l'aide à l'importation d'animaux vivants sont fixées par des documents spécifiques.

Les conditions d'éligibilité à l'aide sont fixées dans le programme POSEI France 2021 approuvé par la Commission européenne.
Les modalités de dépôt et d'instruction des demandes d'aide à l'importation d'animaux vivants sont fixées par décision technique du directeur de l'ODEADOM.

Article 5

Ce texte est une simplification générée par une IA.
Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.

Déploiement et redéploiement des enveloppes agricoles dans les départements d'outre-mer

Résumé Le chef de l'agriculture dans chaque département d'outre-mer peut changer la répartition des fonds agricoles et doit en informer rapidement ses supérieurs.

Le directeur chargé de l'agriculture, de l'alimentation et de la forêt de chaque département d'outre-mer, après avis du comité local POSEI, procède au déploiement entre espèces de l'enveloppe inscrite à l'article 2.
Il peut procéder, après avis du comité local POSEI, au redéploiement en cours d'année de la répartition initialement prévue.
Le directeur de l'agriculture, de l'alimentation et de la forêt transmet les bilans modifiés sans délai au directeur de l'ODEADOM et aux services du ministère de l'agriculture et de l'alimentation.

Article 6

Ce texte est une simplification générée par une IA.
Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.

Redéploiement des enveloppes en fin de campagne

Résumé À la fin de la campagne, les fonds non utilisés de Saint-Martin vont à la Guadeloupe, et le directeur peut redistribuer les fonds entre les régions jusqu'à 40%. Si besoin, il peut prendre une nouvelle décision.

En fin de campagne, les redéploiements d'enveloppes suivants sont possibles :
La part de l'enveloppe non utilisée de Saint-Martin est automatiquement affectée à la Guadeloupe.
Le directeur de l'ODEADOM est autorisé à procéder à un redéploiement des enveloppes entre les régions ultrapériphériques dans une limite qui ne pourra excéder 40 % de la dotation initiale de chacune de celles-ci.
Si les éventuels besoins supplémentaires pour la fin de l'année sont supérieurs à 40 % de la dotation initiale, un nouvel arrêté de répartition peut être pris afin de procéder aux ajustements nécessaires entre les différentes régions ultrapériphériques.

Article 7

Ce texte est une simplification générée par une IA.
Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.

Publication de l'arrêté au Journal Officiel

Résumé Cet arrêté sera publié pour que tout le monde soit au courant.

Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait le 21 juin 2021.

Pour le ministre et par délégation :

Le directeur général adjoint de la performance économique et environnementale des entreprises,

P. Duclaud