JORF n°0202 du 31 août 2025

Ce texte est une simplification générée par une IA.
Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.

Directeur de projet FCC au SGAR Auvergne-Rhône-Alpes

Résumé Un poste à plein temps pour diriger le futur collisionneur circulaire du CERN en collaboration avec la préfète régionale et divers ministères ainsi que des partenaires suisses.
Mots-clés : Emploi public CERN Projet scientifique Gestion de projet Relations internationales

Un emploi de chargé de mission à temps plein, directeur de projet pour le futur collisionneur circulaire (FCC) du CERN, organisation internationale, est vacant, à compter du 7 décembre 2025, auprès du SGAR Auvergne-Rhône-Alpes.

Contexte

Localisé au sein du secrétariat général pour les affaires régionales (SGAR) à Lyon, le ou la titulaire du poste pourra bénéficier de l'appui de l'expertise de l'ensemble des chargés de mission du SGAR, et en particulier de ceux relevant du pôle politiques publiques, mais également de l'ensemble des directeurs régionaux et des deux préfets de département concernés ainsi que leurs services (Ain et Haute-Savoie).
Le poste proposé est atypique par sa fonction de directeur de projet directement placé auprès de la préfète de région, qui recevra d'elle, après sa nomination, une lettre de mission reprenant, en les détaillant le cas échéant, les enjeux présentés dans cette fiche de poste. A ce titre, le directeur de projet rendra compte directement et régulièrement à la préfète de région, l'informera, l'alertera, sera garant de l'avancée du dossier côté Etat et sera force de proposition pour toute amélioration du pilotage et/ou toute demande d'arbitrage éventuelle en réunion interministérielle.
C'est un poste qui s'appuie sur un important travail en réseau, dans un cadre de relations internationales (Suisse et CERN) , nationales (cabinet Premier ministre et de nombreux ministères parmi lesquels en premier lieu le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche et le ministère des affaires étrangères), régionale (notamment pour les relations franco-suisses, pilotées par la préfète de région, mais aussi pour la nécessaire harmonisation dans le calendrier, la méthodologie et les éléments de langage), et départementales (Ain et Haute Savoie).
Les acteurs avec lesquels le ou la titulaire du poste aura plus particulièrement vocation à travailler :

- en France :
- au niveau central : le cabinet du Premier ministre, les ministères de l'enseignement supérieur et de la recherche (notamment le directeur général de la recherche et de l'innovation), des affaires étrangères (notamment l'ambassadrice à Genève, représentante permanente de la France auprès de l'ONU et des organisations internationales en Suisse), de la transition écologique (DGALN, CGDD, président de l'autorité environnementale, DGITM, DGEC), de l'agriculture, de la culture...), le président de la commission nationale du débat public et ses garants en région Auvergne-Rhône-Alpes désignés pour ce projet ;
- au niveau régional : les directeurs régionaux de la DREAL, de la DREETS, de la DRAC, de la DRAAF, le recteur délégué enseignement supérieur, recherche et innovation, le SGAR et le conseiller diplomatique placé auprès de la préfète de région ;
- au niveau local : les directions régionales, les 2 préfètes de département et leurs services (sous préfets d'arrondissement concernés de Gex, St Julien en Genevois, Bonneville et Annecy, DDT, DDFIP.), sociétés et établissements publics concernés par le projet (SNCF Réseau, RTE…) ;
- en Suisse : le Canton de Genève et la Confédération helvétique ;
- au CERN : l'équipe projet interne au CERN, placée auprès de la directrice générale (interlocutrice de la préfète de région) et leurs bureaux d'étude recrutés en appui.

Missions

Les principales missions du directeur de projet résultent de la lettre de mission adressée au préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes par le Premier ministre en date du 8 novembre 2021. Celle-ci confie à la préfète de région le pilotage du volet infrastructure de l'étude de faisabilité du FCC et la charge d'être l'interlocuteur unique des autorités suisses et du CERN.
C'est donc, de fait, la mission du directeur de projet. Celui-ci a en charge de participer ou d'animer directement ou encore de préparer tout un ensemble de réunions qui seront pour la plupart sous présidence de la préfète de région :

- rencontres régulières avec le comité interministériel d'experts à Paris ;
- préparation des conseils du CERN et coordination de la position française par l'organisation de visios préfète de région-DGRI-RP à Genève, puis de réunions tripartites France (préfète de région + RP à Genève) -Suisse (conseiller d'Etat, représentant de la Confédération) -CERN (directrice générale) ;
- organisation de réunions présidées par la préfète de région avec tous les acteurs du territoire (communes, EPCI, conseils départementaux, conseil régional, chambres d'agriculture, chambre de commerce et d'industrie…) à chaque étape importante d'avancée du projet : étude de faisabilité du projet, préparation d'une DUP « réserve foncière », lancement du débat public, lancement d'une démarche grand chantier… ;
- relations étroites à développer avec l'équipe projet FCC, à partir des avis et recommandations, notamment en matière d'information et de communication avec les acteurs du territoire, des phases de conception techniques du projet, d'enjeux environnementaux, de bonne gouvernance et de procédures ;
- relations étroites à développer avec les garants de la CNDP (Commission nationale du débat public) qui conseillent le CERN depuis près d'un an, puis pour la phase du débat public qui débutera en 2026, après les élections municipales ;
- relations étroites à développer également avec les bureaux d'études et/ou établissements recrutés en assistance à maîtrise d'ouvrage par le CERN pour travailler sur leur projet (mandat confié à Grand Paris aménagement et WSP, de juillet à décembre 2025, chargés par le CERN de faire des propositions pour le pilotage stratégique et opérationnel du projet.) ;
- relations avec les préfets et sous-préfets d'arrondissement, ainsi qu'avec les collectivités locales concernées ;
- établissement de rétroplannings pour la sécurisation des procédures et veiller à une bonne communication à tous niveaux ;
- enfin, établir des points d'avancement de la préfète de région à l'attention du Premier ministre a minima deux fois par an, et proposer à la préfète de région de solliciter des réunions interministérielles chaque fois que des arbitrages seront à prendre au niveau gouvernemental, et notamment d'éventuelles évolutions réglementaires voire législatives, ainsi que des besoins d'enveloppes budgétaires.

Le concept de l'infrastructure FCC est désormais clairement défini. Il prévoit un tunnel de 91 km de circonférence, à 250 m de profondeur environ. Il sera relié à la surface par plusieurs puits, répartis sur 8 sites, dont 4 auront une vocation scientifique. Chaque site de surface devrait occuper environ 5 hectares, voire plus selon les fonctions culturelles, éducatives et scientifiques qui pourraient être développées en accord avec le territoire. Deux tiers du tunnel et 5 sites de surface sont en haute Savoie ; les autres sites de surface sont localisés pour deux d'entre eux dans l'Ain, et pour un dans le canton de Genève.
Il convient de favoriser la constitution d'un dossier de qualité par le CERN et une communication exemplaire vers tous les acteurs du territoire jusqu'en 2028, en étroite articulation avec la Suisse, date à laquelle le Conseil du CERN devrait prendre la décision de réaliser ou non ce projet de plus de 15 milliards d'euros, dont le démarrage des travaux est prévu en 2033.
Les enjeux du volet territorial du FCC sont multiples et concernent de nombreux acteurs : outre la réalisation même du tunnel et de ses sites de surface (sujets de génie civil, de paysage,.), sont en effet à traiter, à titre d'exemple :

- le sujet du devenir des 8 millions de tonnes de matériaux qui seront excavés (dans un contexte franco-suisse, donc de législations différentes) ;
- la consommation énergétique du FCC ;
- la quantité et de la provenance de l'eau nécessaire au refroidissement ;
- le passage du FCC dans des périmètres de protection de captage d'eau potable ;
- l'artificialisation des sols liée au FCC mais également à tous les projets connexes (routes, acheminement des matériaux excavés, …) et à leurs compensations agricoles et environnementales ;
- la maîtrise du foncier et du tréfonds, ainsi que les éventuelles suites à donner à des demandes de rachat de terrains par les propriétaires ;

- ...

Environnement du poste

Pour mener à bien ses missions, le directeur de projet est appuyé par :

- l'équipe projet mise en place par la DREAL dédiée au projet du CERN, le référent CERN de la DRAC ;
- les directeurs régionaux (délégué et adjoint) de la DREETS et de la DRAAF qui ont chacun été missionnés par la préfète de région, pour venir en appui sur leurs champs respectifs : impact prévisible en matière d'emploi et d'économie (retombées sur le territoire) et anticipation des besoins du monde agricole ;
- les directions d'administration centrales ;
- le CEREMA, sous un format à déterminer (la convention actuelle d'appui se termine fin 2025) mais également le CETU (centre d'études des tunnels), le BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières) … ;
- un agent de catégorie A ou A+ dont le poste sera ouvert en 2026 ;
- le pôle d'assistants des chargés de mission du pôle politiques publiques du SGAR.

Compétences

Le poste nécessite :

- des capacités d'animation de partenariats, de coordination et de pilotage de projets ;
- la capacité à manager et travailler en équipe, un sens aigu des relations ;
- la capacité à prendre du recul pour avoir la hauteur de vue nécessaire, à développer une vision stratégique et prospective, et à être force de proposition ;
- réactivité et capacité d'adaptation, capacité à gérer des échéances et des priorités sous contraintes ;
- une bonne connaissance de l'environnement institutionnel ;
- la pratique de l'anglais serait un plus.

Localisation

Le SGAR Auvergne-Rhône-Alpes est basé à Lyon et a un site distant à Clermont-Ferrand.
Le poste de directeur de projet est localisé au SGAR au 33, rue Moncey, Lyon (3e).

Conditions à remplir

Conformément aux dispositions de l'article 6 du décret n° 2009-587 du 25 mai 2009 relatif aux missions des secrétaires généraux pour les affaires régionales, les fonctionnaires de catégorie A ou assimilés, les magistrats, les officiers ainsi que des agents contractuels d'un niveau équivalent peuvent être nommés chargés de mission.
Le poste est ouvert pour 3 ans renouvelables une fois.

Modalités de candidature

Conformément aux dispositions de l'article 5 du décret du 25 mai 2009 précité, les candidatures, accompagnées d'un curriculum vitae, d'une lettre de motivation, ainsi que, le cas échéant, du dernier arrêté de situation administrative et un état des services, doivent être transmises, dans un délai de trois semaines à compter de la publication du présent avis au Journal officiel de la République française, au préfet de région, à l'adresse ci-après : préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, SGAR, 106, rue Pierre-Corneille, 69419 Lyon Cedex 03, et sous forme électronique à l'adresse suivante : [email protected]
Tous renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de Mme Françoise Noars, secrétaire générale pour les affaires régionales, [email protected], téléphone : 04-72-61-63-07.


Historique des versions

Version 1

Un emploi de chargé de mission à temps plein, directeur de projet pour le futur collisionneur circulaire (FCC) du CERN, organisation internationale, est vacant, à compter du 7 décembre 2025, auprès du SGAR Auvergne-Rhône-Alpes.

Contexte

Localisé au sein du secrétariat général pour les affaires régionales (SGAR) à Lyon, le ou la titulaire du poste pourra bénéficier de l'appui de l'expertise de l'ensemble des chargés de mission du SGAR, et en particulier de ceux relevant du pôle politiques publiques, mais également de l'ensemble des directeurs régionaux et des deux préfets de département concernés ainsi que leurs services (Ain et Haute-Savoie).

Le poste proposé est atypique par sa fonction de directeur de projet directement placé auprès de la préfète de région, qui recevra d'elle, après sa nomination, une lettre de mission reprenant, en les détaillant le cas échéant, les enjeux présentés dans cette fiche de poste. A ce titre, le directeur de projet rendra compte directement et régulièrement à la préfète de région, l'informera, l'alertera, sera garant de l'avancée du dossier côté Etat et sera force de proposition pour toute amélioration du pilotage et/ou toute demande d'arbitrage éventuelle en réunion interministérielle.

C'est un poste qui s'appuie sur un important travail en réseau, dans un cadre de relations internationales (Suisse et CERN) , nationales (cabinet Premier ministre et de nombreux ministères parmi lesquels en premier lieu le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche et le ministère des affaires étrangères), régionale (notamment pour les relations franco-suisses, pilotées par la préfète de région, mais aussi pour la nécessaire harmonisation dans le calendrier, la méthodologie et les éléments de langage), et départementales (Ain et Haute Savoie).

Les acteurs avec lesquels le ou la titulaire du poste aura plus particulièrement vocation à travailler :

- en France :

- au niveau central : le cabinet du Premier ministre, les ministères de l'enseignement supérieur et de la recherche (notamment le directeur général de la recherche et de l'innovation), des affaires étrangères (notamment l'ambassadrice à Genève, représentante permanente de la France auprès de l'ONU et des organisations internationales en Suisse), de la transition écologique (DGALN, CGDD, président de l'autorité environnementale, DGITM, DGEC), de l'agriculture, de la culture...), le président de la commission nationale du débat public et ses garants en région Auvergne-Rhône-Alpes désignés pour ce projet ;

- au niveau régional : les directeurs régionaux de la DREAL, de la DREETS, de la DRAC, de la DRAAF, le recteur délégué enseignement supérieur, recherche et innovation, le SGAR et le conseiller diplomatique placé auprès de la préfète de région ;

- au niveau local : les directions régionales, les 2 préfètes de département et leurs services (sous préfets d'arrondissement concernés de Gex, St Julien en Genevois, Bonneville et Annecy, DDT, DDFIP.), sociétés et établissements publics concernés par le projet (SNCF Réseau, RTE…) ;

- en Suisse : le Canton de Genève et la Confédération helvétique ;

- au CERN : l'équipe projet interne au CERN, placée auprès de la directrice générale (interlocutrice de la préfète de région) et leurs bureaux d'étude recrutés en appui.

Missions

Les principales missions du directeur de projet résultent de la lettre de mission adressée au préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes par le Premier ministre en date du 8 novembre 2021. Celle-ci confie à la préfète de région le pilotage du volet infrastructure de l'étude de faisabilité du FCC et la charge d'être l'interlocuteur unique des autorités suisses et du CERN.

C'est donc, de fait, la mission du directeur de projet. Celui-ci a en charge de participer ou d'animer directement ou encore de préparer tout un ensemble de réunions qui seront pour la plupart sous présidence de la préfète de région :

- rencontres régulières avec le comité interministériel d'experts à Paris ;

- préparation des conseils du CERN et coordination de la position française par l'organisation de visios préfète de région-DGRI-RP à Genève, puis de réunions tripartites France (préfète de région + RP à Genève) -Suisse (conseiller d'Etat, représentant de la Confédération) -CERN (directrice générale) ;

- organisation de réunions présidées par la préfète de région avec tous les acteurs du territoire (communes, EPCI, conseils départementaux, conseil régional, chambres d'agriculture, chambre de commerce et d'industrie…) à chaque étape importante d'avancée du projet : étude de faisabilité du projet, préparation d'une DUP « réserve foncière », lancement du débat public, lancement d'une démarche grand chantier… ;

- relations étroites à développer avec l'équipe projet FCC, à partir des avis et recommandations, notamment en matière d'information et de communication avec les acteurs du territoire, des phases de conception techniques du projet, d'enjeux environnementaux, de bonne gouvernance et de procédures ;

- relations étroites à développer avec les garants de la CNDP (Commission nationale du débat public) qui conseillent le CERN depuis près d'un an, puis pour la phase du débat public qui débutera en 2026, après les élections municipales ;

- relations étroites à développer également avec les bureaux d'études et/ou établissements recrutés en assistance à maîtrise d'ouvrage par le CERN pour travailler sur leur projet (mandat confié à Grand Paris aménagement et WSP, de juillet à décembre 2025, chargés par le CERN de faire des propositions pour le pilotage stratégique et opérationnel du projet.) ;

- relations avec les préfets et sous-préfets d'arrondissement, ainsi qu'avec les collectivités locales concernées ;

- établissement de rétroplannings pour la sécurisation des procédures et veiller à une bonne communication à tous niveaux ;

- enfin, établir des points d'avancement de la préfète de région à l'attention du Premier ministre a minima deux fois par an, et proposer à la préfète de région de solliciter des réunions interministérielles chaque fois que des arbitrages seront à prendre au niveau gouvernemental, et notamment d'éventuelles évolutions réglementaires voire législatives, ainsi que des besoins d'enveloppes budgétaires.

Le concept de l'infrastructure FCC est désormais clairement défini. Il prévoit un tunnel de 91 km de circonférence, à 250 m de profondeur environ. Il sera relié à la surface par plusieurs puits, répartis sur 8 sites, dont 4 auront une vocation scientifique. Chaque site de surface devrait occuper environ 5 hectares, voire plus selon les fonctions culturelles, éducatives et scientifiques qui pourraient être développées en accord avec le territoire. Deux tiers du tunnel et 5 sites de surface sont en haute Savoie ; les autres sites de surface sont localisés pour deux d'entre eux dans l'Ain, et pour un dans le canton de Genève.

Il convient de favoriser la constitution d'un dossier de qualité par le CERN et une communication exemplaire vers tous les acteurs du territoire jusqu'en 2028, en étroite articulation avec la Suisse, date à laquelle le Conseil du CERN devrait prendre la décision de réaliser ou non ce projet de plus de 15 milliards d'euros, dont le démarrage des travaux est prévu en 2033.

Les enjeux du volet territorial du FCC sont multiples et concernent de nombreux acteurs : outre la réalisation même du tunnel et de ses sites de surface (sujets de génie civil, de paysage,.), sont en effet à traiter, à titre d'exemple :

- le sujet du devenir des 8 millions de tonnes de matériaux qui seront excavés (dans un contexte franco-suisse, donc de législations différentes) ;

- la consommation énergétique du FCC ;

- la quantité et de la provenance de l'eau nécessaire au refroidissement ;

- le passage du FCC dans des périmètres de protection de captage d'eau potable ;

- l'artificialisation des sols liée au FCC mais également à tous les projets connexes (routes, acheminement des matériaux excavés, …) et à leurs compensations agricoles et environnementales ;

- la maîtrise du foncier et du tréfonds, ainsi que les éventuelles suites à donner à des demandes de rachat de terrains par les propriétaires ;

- ...

Environnement du poste

Pour mener à bien ses missions, le directeur de projet est appuyé par :

- l'équipe projet mise en place par la DREAL dédiée au projet du CERN, le référent CERN de la DRAC ;

- les directeurs régionaux (délégué et adjoint) de la DREETS et de la DRAAF qui ont chacun été missionnés par la préfète de région, pour venir en appui sur leurs champs respectifs : impact prévisible en matière d'emploi et d'économie (retombées sur le territoire) et anticipation des besoins du monde agricole ;

- les directions d'administration centrales ;

- le CEREMA, sous un format à déterminer (la convention actuelle d'appui se termine fin 2025) mais également le CETU (centre d'études des tunnels), le BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières) … ;

- un agent de catégorie A ou A+ dont le poste sera ouvert en 2026 ;

- le pôle d'assistants des chargés de mission du pôle politiques publiques du SGAR.

Compétences

Le poste nécessite :

- des capacités d'animation de partenariats, de coordination et de pilotage de projets ;

- la capacité à manager et travailler en équipe, un sens aigu des relations ;

- la capacité à prendre du recul pour avoir la hauteur de vue nécessaire, à développer une vision stratégique et prospective, et à être force de proposition ;

- réactivité et capacité d'adaptation, capacité à gérer des échéances et des priorités sous contraintes ;

- une bonne connaissance de l'environnement institutionnel ;

- la pratique de l'anglais serait un plus.

Localisation

Le SGAR Auvergne-Rhône-Alpes est basé à Lyon et a un site distant à Clermont-Ferrand.

Le poste de directeur de projet est localisé au SGAR au 33, rue Moncey, Lyon (3

e

).

Conditions à remplir

Conformément aux dispositions de l'article 6 du décret n° 2009-587 du 25 mai 2009 relatif aux missions des secrétaires généraux pour les affaires régionales, les fonctionnaires de catégorie A ou assimilés, les magistrats, les officiers ainsi que des agents contractuels d'un niveau équivalent peuvent être nommés chargés de mission.

Le poste est ouvert pour 3 ans renouvelables une fois.

Modalités de candidature

Conformément aux dispositions de l'article 5 du décret du 25 mai 2009 précité, les candidatures, accompagnées d'un curriculum vitae, d'une lettre de motivation, ainsi que, le cas échéant, du dernier arrêté de situation administrative et un état des services, doivent être transmises, dans un délai de trois semaines à compter de la publication du présent avis au Journal officiel de la République française, au préfet de région, à l'adresse ci-après : préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, SGAR, 106, rue Pierre-Corneille, 69419 Lyon Cedex 03, et sous forme électronique à l'adresse suivante : [email protected]

Tous renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de Mme Françoise Noars, secrétaire générale pour les affaires régionales, [email protected], téléphone : 04-72-61-63-07.