JORF n°0304 du 24 décembre 2024

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Emploi de directeur du Parc amazonien de Guyane

Résumé Un poste de directeur est disponible au Parc amazonien de Guyane pour trois ans, renouvelable.

Emploi proposé

Emploi proposé : directeur de l'établissement public du parc amazonien de Guyane.
Catégorie : ouvert aux fonctionnaires de catégorie A+ et aux personnels non titulaires.
Durée de l'engagement : trois ans renouvelables.

Localisation du poste

Rémire-Montjoly (Guyane).

Nature de l'activité

Le parc amazonien de Guyane et ses enjeux :
Créé en 2007, le parc national dénommé « parc amazonien de Guyane » s'étend sur un vaste espace de forêt amazonienne, un des derniers encore bien conservés et le seul intégré à l'espace politique européen. Cette forêt non fragmentée où l'eau est omniprésente se caractérise par la présence d'une grande variété d'écosystèmes et de paysages d'où émergent de spectaculaires inselbergs. Encore peu connue, cette forêt représente un très important réservoir de biodiversité y compris en termes de patrimoine génétique. Ce territoire, délimité par les fleuves Maroni et Oyapock, est frontalier avec le Surinam et le Brésil. Il constitue, avec le parc brésilien des Tumucumaques le plus vaste ensemble forestier protégé au monde.
Le parc couvre une surface supérieure à 3,3 millions d'hectares, partagée entre le cœur (1,3 millions d'hectares) et l'aire de libre adhésion (2,03 millions d'hectares pour 5 communes), soit une surface plus grande que la Belgique. Si le cœur ne possède pas d'habitant permanent, l'aire de libre adhésion regroupe plus de 20 000 résidents caractérisés par de très fortes identités culturelles et des organisations coutumières influentes et reconnues. Wayana, Téko, Wayapi, Bushinengués et Créoles habitent ce territoire depuis des millénaires pour les amérindiens et des siècles pour les autres. Les sites archéologiques disséminés dans la forêt témoignent de cette occupation et de l'usage par les hommes des multiples ressources de la forêt du plateau des Guyanes.
Mais aujourd'hui, les communautés du parc national souffrent d'un retard important dans l'économie, les équipements et l'accès aux services publics. En effet, l'éloignement des villages d'une bande côtière plus urbanisée, combiné à des communications souvent réduites à la pirogue et, depuis peu, aux liaisons aériennes intérieures, toujours irrégulières et coûteuses coûteux moyens aériens, ont maintenu ces communautés dans un enclavement sans équivalent en France. Les communes du Parc restent encore aujourd'hui non raccordées au réseau routier du littoral. C'est pourquoi le parc amazonien de Guyane est doté d'une mission spécifique de développement au bénéfice des populations de son territoire. Comme le reste de la Guyane, le parc est soumis depuis plus de 20 ans à la pression de l'orpaillage illégal, activité dont les dommages évidents sur le milieu naturel (pollution des sols et des eaux, et, dans une moindre mesure, déforestation) se conjuguent avec de graves impacts sociaux (dégradations des conditions sanitaires, imprégnation mercurielle, insécurité, trafics illégaux etc.).
L'établissement public du parc amazonien de Guyane :
Le parc national est géré par un établissement public administratif placé sous la tutelle du ministère en charge de la protection de la nature. L'établissement public est doté d'un conseil d'administration de 64 membres comprenant des représentants des collectivités territoriales, des différentes administrations concernées, des autorités coutumières, de représentants socio-professionnels, du personnel et de personnalités qualifiées.
Son budget annuel est d'environ 9 millions d'euros. Depuis le 1er janvier 2017, les parcs nationaux sont rattachés à l'Office français de la biodiversité et une convention de rattachement a été validée en mars 2018 et renouvelée en mars 2022.
Le directeur est assisté d'un directeur-adjoint, d'un secrétaire général, de 3 chefs de services au niveau du siège et de 3 responsables territoriaux. L'équipe est composée d'environ 90 agents répartis entre le siège de l'établissement (un tiers) et 3 délégations territoriales (Maroni, Centre et Oyapock).
La charte du parc amazonien de Guyane a été validée le 28 octobre 2013, à l'issue d'un long processus de concertation. Les quatre communes concernées par l'aire libre d'adhésion (Maripasoula, Papaïchton, Saül et Camopi) ont toutes adhéré à la charte entre 2013 et 2015 (la commune de Saint-Elie n'étant concernée que pour partie dans le cœur de parc. Des conventions ont ensuite été établies entre le parc et chacune de ces communes pour la mise en œuvre de la charte. La charte est actuellement en cours d'évaluation finale (rapport d'évaluation attendu avant octobre 2025).
Les missions de l'établissement consistent notamment à :

- protéger un patrimoine naturel, culturel et paysager illustrant un équilibre unique « homme-nature » et présentant une valeur internationale ;
- contribuer à la lutte contre l'orpaillage illégal aux cotés des différents services de l'Etat et des forces de police et de défense, sous le pilotage du préfet de la Guyane dans le cadre du dispositif Harpie (gendarmerie, forces armés de Guyane, PaG, ONF, douanes, PAF, OCLAESP…) ;
- développer la connaissance du patrimoine naturel et lui donner une visibilité au niveau national, régional et international ;
- favoriser le développement endogène des communautés concernées par le parc en soutenant des modes de valorisation des patrimoines culturels et des savoir-faire locaux mis en œuvre par les communautés elles-mêmes ;
- conduire des projets de développement et d'équipements susceptibles d'améliorer la qualité de vie des habitants, en lien avec les autres administrations et établissement et en mobilisant des financements complémentaires.

Ceci implique de développer la connaissance et l'expertise à travers des protocoles, de maintenir une surveillance des milieux, de développer les partenariats avec les nombreux acteurs publics et privés concernés, d'apporter son soutien en ingénierie aux collectivités (une cellule d'ingénierie a ainsi été créée sur financement extérieur), de contribuer à la gestion des activités qui s'exercent sur le territoire, d'accueillir les missionnaires et autres publics et plus largement mener des actions de sensibilisation à l'environnement et au développement durable.
En complément des missions principales déjà citées, le parc amazonien développe deux axes nouveaux de réflexion :

- la mise en place d'un plan d'adaptation aux changements climatiques, en échos aux attentes du nouveau contrat d'objectifs et de performance 2024-2028 ;
- la conception et l'organisation de deux projets de coopération transfrontalière : coopération technique PaG/Parc national des montagnes des Tumuc Humacs (Brésil) d'une part ; et à l'échelle du plateau des Guyanes, la poursuite du renforcement du réseau sous-régional des aires protégées (Guyane, Suriname, Guyana et l'Etat d'Amapa au Brésil).

Qualités requises

- expérience de haut niveau dans le management d'établissement public, d'administration de l'Etat ou de collectivité territoriale ;
- excellent sens politique et stratégique, fortes capacités de négociation, d'adaptation et de collaborations inter- institutionnelles, en milieu multiculturel et dans des contextes sensibles et de forte exposition ;
- connaissance du fonctionnement d'un établissement public de l'Etat et des services de l'Etat ;
- capacité d'organisation, d'animation et d'encadrement d'une équipe pluriculturelle aux compétences et statuts divers et solides aptitudes en gestion des ressources humaines ;
- compréhension du fonctionnement des collectivités territoriales, bonne capacité à construire des partenariats avec les élus, et expérience opérationnelle de la conduite de projets territoriaux ;
- compréhension des mécanismes de fonds structurels européens ;
- compréhension des mécanismes de coopération internationale ;
- sens opérationnel et pratique pour opérer efficacement dans un contexte atypique ;
- motivation pour la protection de la nature, pour le développement durable, pour les patrimoines culturels et la connaissance des politiques s'y rapportant ;
- sens de la communication, capacité relationnelle en milieu multiculturel ;
- capacité d'adaptation (nécessité de séjourner et de se déplacer en milieu forestier tropical).

Une expérience de responsabilité sur un espace à forte valeur patrimoniale serait un atout. La connaissance scientifique et l'expérience des cultures et de l'histoire guyanaise ainsi que des écosystèmes amazoniens serait aussi un atout important.
Maîtrise de l'anglais indispensable ; celle du portugais et de langues régionales ou guyanaises serait un plus.

Candidatures

Date limite de dépôt des candidatures : 24 janvier 2024.
Période prévisible des auditions : fin février, début mars 2024.
Date de prise de fonctions souhaitée : avril 2024.
Les candidatures sont à adresser au ministère de la transition écologique, de l'énergie, du climat et de la prévention des risques uniquement et impérativement par voie électronique aux adresses suivantes : [email protected] et [email protected]
Elles devront comporter un curriculum vitae et une lettre de motivation adressée au ministre en charge de la protection de nature.
Le processus de recrutement est encadré par l'article L. 331-8 du code de l'environnement. La sélection des candidatures s'effectuera de la façon suivante : une présélection sera réalisée sur dossier puis les candidats retenus seront auditionnés par une commission composée de trois représentants du conseil d'administration de l'établissement public et de trois représentants de l'Etat. A l'issue des auditions, la commission proposera trois au ministre en charge de la protection de nature, qui effectuera alors le choix final.
Conformément à l'article 2 du décret n° 2016-1967 du 28 décembre 2016 modifié relatif à l'obligation de transmission d'une déclaration d'intérêts prévue à l'article 25 ter de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, l'accès à cet emploi est soumis au dépôt d'une déclaration d'intérêts préalablement à la nomination.

Personnes à contacter

Mme Célia de Lavergne, directrice de l'eau et de la biodiversité (courriel : [email protected]).
M. Philippe Rogier, sous-directeur de la protection et de la restauration des écosystèmes terrestres au sein de la direction de l'eau et de la biodiversité (courriel : [email protected]).
M. le Préfet de Guyane : M. Antoine Poussier.
M. le président du conseil d'administration de l'établissement public : M. Jules DEIE (+594 694 20 14 98).


Historique des versions

Version 1

Emploi proposé

Emploi proposé : directeur de l'établissement public du parc amazonien de Guyane.

Catégorie : ouvert aux fonctionnaires de catégorie A+ et aux personnels non titulaires.

Durée de l'engagement : trois ans renouvelables.

Localisation du poste

Rémire-Montjoly (Guyane).

Nature de l'activité

Le parc amazonien de Guyane et ses enjeux :

Créé en 2007, le parc national dénommé « parc amazonien de Guyane » s'étend sur un vaste espace de forêt amazonienne, un des derniers encore bien conservés et le seul intégré à l'espace politique européen. Cette forêt non fragmentée où l'eau est omniprésente se caractérise par la présence d'une grande variété d'écosystèmes et de paysages d'où émergent de spectaculaires inselbergs. Encore peu connue, cette forêt représente un très important réservoir de biodiversité y compris en termes de patrimoine génétique. Ce territoire, délimité par les fleuves Maroni et Oyapock, est frontalier avec le Surinam et le Brésil. Il constitue, avec le parc brésilien des Tumucumaques le plus vaste ensemble forestier protégé au monde.

Le parc couvre une surface supérieure à 3,3 millions d'hectares, partagée entre le cœur (1,3 millions d'hectares) et l'aire de libre adhésion (2,03 millions d'hectares pour 5 communes), soit une surface plus grande que la Belgique. Si le cœur ne possède pas d'habitant permanent, l'aire de libre adhésion regroupe plus de 20 000 résidents caractérisés par de très fortes identités culturelles et des organisations coutumières influentes et reconnues. Wayana, Téko, Wayapi, Bushinengués et Créoles habitent ce territoire depuis des millénaires pour les amérindiens et des siècles pour les autres. Les sites archéologiques disséminés dans la forêt témoignent de cette occupation et de l'usage par les hommes des multiples ressources de la forêt du plateau des Guyanes.

Mais aujourd'hui, les communautés du parc national souffrent d'un retard important dans l'économie, les équipements et l'accès aux services publics. En effet, l'éloignement des villages d'une bande côtière plus urbanisée, combiné à des communications souvent réduites à la pirogue et, depuis peu, aux liaisons aériennes intérieures, toujours irrégulières et coûteuses coûteux moyens aériens, ont maintenu ces communautés dans un enclavement sans équivalent en France. Les communes du Parc restent encore aujourd'hui non raccordées au réseau routier du littoral. C'est pourquoi le parc amazonien de Guyane est doté d'une mission spécifique de développement au bénéfice des populations de son territoire. Comme le reste de la Guyane, le parc est soumis depuis plus de 20 ans à la pression de l'orpaillage illégal, activité dont les dommages évidents sur le milieu naturel (pollution des sols et des eaux, et, dans une moindre mesure, déforestation) se conjuguent avec de graves impacts sociaux (dégradations des conditions sanitaires, imprégnation mercurielle, insécurité, trafics illégaux etc.).

L'établissement public du parc amazonien de Guyane :

Le parc national est géré par un établissement public administratif placé sous la tutelle du ministère en charge de la protection de la nature. L'établissement public est doté d'un conseil d'administration de 64 membres comprenant des représentants des collectivités territoriales, des différentes administrations concernées, des autorités coutumières, de représentants socio-professionnels, du personnel et de personnalités qualifiées.

Son budget annuel est d'environ 9 millions d'euros. Depuis le 1er janvier 2017, les parcs nationaux sont rattachés à l'Office français de la biodiversité et une convention de rattachement a été validée en mars 2018 et renouvelée en mars 2022.

Le directeur est assisté d'un directeur-adjoint, d'un secrétaire général, de 3 chefs de services au niveau du siège et de 3 responsables territoriaux. L'équipe est composée d'environ 90 agents répartis entre le siège de l'établissement (un tiers) et 3 délégations territoriales (Maroni, Centre et Oyapock).

La charte du parc amazonien de Guyane a été validée le 28 octobre 2013, à l'issue d'un long processus de concertation. Les quatre communes concernées par l'aire libre d'adhésion (Maripasoula, Papaïchton, Saül et Camopi) ont toutes adhéré à la charte entre 2013 et 2015 (la commune de Saint-Elie n'étant concernée que pour partie dans le cœur de parc. Des conventions ont ensuite été établies entre le parc et chacune de ces communes pour la mise en œuvre de la charte. La charte est actuellement en cours d'évaluation finale (rapport d'évaluation attendu avant octobre 2025).

Les missions de l'établissement consistent notamment à :

- protéger un patrimoine naturel, culturel et paysager illustrant un équilibre unique « homme-nature » et présentant une valeur internationale ;

- contribuer à la lutte contre l'orpaillage illégal aux cotés des différents services de l'Etat et des forces de police et de défense, sous le pilotage du préfet de la Guyane dans le cadre du dispositif Harpie (gendarmerie, forces armés de Guyane, PaG, ONF, douanes, PAF, OCLAESP…) ;

- développer la connaissance du patrimoine naturel et lui donner une visibilité au niveau national, régional et international ;

- favoriser le développement endogène des communautés concernées par le parc en soutenant des modes de valorisation des patrimoines culturels et des savoir-faire locaux mis en œuvre par les communautés elles-mêmes ;

- conduire des projets de développement et d'équipements susceptibles d'améliorer la qualité de vie des habitants, en lien avec les autres administrations et établissement et en mobilisant des financements complémentaires.

Ceci implique de développer la connaissance et l'expertise à travers des protocoles, de maintenir une surveillance des milieux, de développer les partenariats avec les nombreux acteurs publics et privés concernés, d'apporter son soutien en ingénierie aux collectivités (une cellule d'ingénierie a ainsi été créée sur financement extérieur), de contribuer à la gestion des activités qui s'exercent sur le territoire, d'accueillir les missionnaires et autres publics et plus largement mener des actions de sensibilisation à l'environnement et au développement durable.

En complément des missions principales déjà citées, le parc amazonien développe deux axes nouveaux de réflexion :

- la mise en place d'un plan d'adaptation aux changements climatiques, en échos aux attentes du nouveau contrat d'objectifs et de performance 2024-2028 ;

- la conception et l'organisation de deux projets de coopération transfrontalière : coopération technique PaG/Parc national des montagnes des Tumuc Humacs (Brésil) d'une part ; et à l'échelle du plateau des Guyanes, la poursuite du renforcement du réseau sous-régional des aires protégées (Guyane, Suriname, Guyana et l'Etat d'Amapa au Brésil).

Qualités requises

- expérience de haut niveau dans le management d'établissement public, d'administration de l'Etat ou de collectivité territoriale ;

- excellent sens politique et stratégique, fortes capacités de négociation, d'adaptation et de collaborations inter- institutionnelles, en milieu multiculturel et dans des contextes sensibles et de forte exposition ;

- connaissance du fonctionnement d'un établissement public de l'Etat et des services de l'Etat ;

- capacité d'organisation, d'animation et d'encadrement d'une équipe pluriculturelle aux compétences et statuts divers et solides aptitudes en gestion des ressources humaines ;

- compréhension du fonctionnement des collectivités territoriales, bonne capacité à construire des partenariats avec les élus, et expérience opérationnelle de la conduite de projets territoriaux ;

- compréhension des mécanismes de fonds structurels européens ;

- compréhension des mécanismes de coopération internationale ;

- sens opérationnel et pratique pour opérer efficacement dans un contexte atypique ;

- motivation pour la protection de la nature, pour le développement durable, pour les patrimoines culturels et la connaissance des politiques s'y rapportant ;

- sens de la communication, capacité relationnelle en milieu multiculturel ;

- capacité d'adaptation (nécessité de séjourner et de se déplacer en milieu forestier tropical).

Une expérience de responsabilité sur un espace à forte valeur patrimoniale serait un atout. La connaissance scientifique et l'expérience des cultures et de l'histoire guyanaise ainsi que des écosystèmes amazoniens serait aussi un atout important.

Maîtrise de l'anglais indispensable ; celle du portugais et de langues régionales ou guyanaises serait un plus.

Candidatures

Date limite de dépôt des candidatures : 24 janvier 2024.

Période prévisible des auditions : fin février, début mars 2024.

Date de prise de fonctions souhaitée : avril 2024.

Les candidatures sont à adresser au ministère de la transition écologique, de l'énergie, du climat et de la prévention des risques uniquement et impérativement par voie électronique aux adresses suivantes : [email protected] et [email protected]

Elles devront comporter un curriculum vitae et une lettre de motivation adressée au ministre en charge de la protection de nature.

Le processus de recrutement est encadré par l'article L. 331-8 du code de l'environnement. La sélection des candidatures s'effectuera de la façon suivante : une présélection sera réalisée sur dossier puis les candidats retenus seront auditionnés par une commission composée de trois représentants du conseil d'administration de l'établissement public et de trois représentants de l'Etat. A l'issue des auditions, la commission proposera trois au ministre en charge de la protection de nature, qui effectuera alors le choix final.

Conformément à l'article 2 du décret n° 2016-1967 du 28 décembre 2016 modifié relatif à l'obligation de transmission d'une déclaration d'intérêts prévue à l'article 25 ter de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, l'accès à cet emploi est soumis au dépôt d'une déclaration d'intérêts préalablement à la nomination.

Personnes à contacter

Mme Célia de Lavergne, directrice de l'eau et de la biodiversité (courriel : [email protected]).

M. Philippe Rogier, sous-directeur de la protection et de la restauration des écosystèmes terrestres au sein de la direction de l'eau et de la biodiversité (courriel : [email protected]).

M. le Préfet de Guyane : M. Antoine Poussier.

M. le président du conseil d'administration de l'établissement public : M. Jules DEIE (+594 694 20 14 98).