JORF n°0117 du 20 mai 2022

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Description du poste de directeur général adjoint au CHU de Saint-Étienne

Résumé Le directeur général adjoint du CHU de Saint-Étienne aide le directeur général, prend des décisions importantes et coordonne les équipes.

ANNEXE VIII
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE SAINT-ÉTIENNE, DU CENTRE HOSPITALIER DE ROANNE ET DES EHPAD COUTOUVRE, MONTAGNY ET PAYS DE BELMONT (LOIRE)
Directeur ou directrice général(e) adjoint(e)

I. - Description de l'établissement

Centre de référence dans de nombreuses disciplines, le CHU de Saint-Etienne assure une fonction de recours et favorise, par son partenariat avec l'université et les grandes écoles stéphanoises (ex. : Ecole nationale supérieure des mines de Saint-Etienne), l'innovation, le progrès des méthodes diagnostiques et thérapeutiques ainsi que leur diffusion.
Il assure également une mission de soins de proximité en liaison avec divers acteurs et dans une logique de réseau de soins. Il anime le territoire dans le cadre du GHT Loire, qui rassemble 15 établissements.
Dans le domaine de la cancérologie, le CHU de Saint-Etienne a fusionné au 1er janvier 2022 avec l'Institut de cancérologie Lucien Neuwirth. Le nouveau pôle de cancérologie a vocation à organiser les activités de recours, de recherche et d'innovation en lien avec l'ensemble des partenaires hospitaliers publics et privés du bassin.
Le CHU de Saint-Etienne fait partie également du GCS HOURAA (hôpitaux universitaires Rhône-Alpes Auvergne) avec les hospices civils de Lyon, le CHU de Grenoble et le CHU de Clermont-Ferrand.
Chiffres clés du CHU :

- 1 920 lits et places (1 210 MCO, 393 PSY, 157 SSR et 160 SLD) ;
- plus de 165 000 séjours ; plus de 500 000 consultations ;
- 93 200 passages aux urgences ;
- 3 400 sorties SMUR (dont 877 hélico) ;
- 25 500 interventions chirurgicales ;
- 222 greffes de cornées, de reins, d'artères, de membranes amniotiques ;
- 164 148 affaires traitées par le SAMU (328 892 appels) ;
- plus de 3 000 naissances ;
- 8 356 professionnels ;
- 704 M€ budget d'exploitation ;
- 25,8 M€ budget d'investissement (hors schéma directeur immobilier).

II. - Description du poste

Le directeur général adjoint agit en concertation et en collaboration avec le directeur général qu'il seconde. Il contribue au management de l'équipe de direction et des services du CHU. Il participe aux structures décisionnelles, au processus de décision, à la définition des lignes stratégique de l'établissement, dirige les services dans son périmètre et par délégation, définit et met en œuvre, régule, contrôle et évalue les plans d'actions. Il représente le DG en tant que de besoin.
Le directeur général adjoint :

- remplace le DG en cas d'indisponibilité et exerce si nécessaire les délégations de signature de tous actes dont il dispose ;
- s'assure de l'information, ou de l'alerte, du DG sur tout sujet le nécessitant ;
- participe aux instances décisionnelles ;
- coordonne l'équipe de direction selon la délégation du DG et, en cas d'absence de celui-ci, anime le comité de direction ;
- assiste le DG pour la définition des orientations stratégiques de l'établissement en lien avec l'ARS et en conformité avec le CPOM ;
- assiste le DG dans la politique territoriale de l'établissement en accord avec le conseil de surveillance et en conformité avec les orientations nationales et territoriales ; contribue à la mise en œuvre la politique définie dans la région et au sein du CHU ;
- propose toutes modalités utiles d'animation des projets stratégiques…

Plus largement, le directeur général adjoint, en lien étroit avec le directeur général, met en œuvre un management participatif se fondant sur la concertation et la capacité de synthèse et de décision, entretient des relations de travail cordiales et efficaces, promeut la reconnaissance mutuelle et la création de la confiance, tant au sein des directions que dans les relations quotidiennes avec les responsables médicaux et universitaires, ainsi qu'avec les services cliniques et médico-techniques. Il tient compte des attentes des usagers, des tutelles, des personnels et des élus, prises en compte dans la politique de management.

III. - Profil recherché

L'emploi s'adresse à un cadre de haut niveau fonctionnaire, ou agent contractuel, avec une expérience minimale de 6 années d'activités professionnelles diversifiées en tant que cadre supérieur sur des fonctions de direction, d'encadrement ou d'expertise et ayant une excellente connaissance des politiques de santé. Une expérience dans une collectivité territoriale serait un plus.
Une expérience significative de responsabilité de management dans des centres hospitaliers ou en CHU est requise.
Il aura déjà exercé des fonctions de management complexe au sein d'un hôpital et des responsabilités multiples ou des fonctions de coordination, notamment dans la conduite de projets de réorganisation.
Connaissances particulières requises :

- compréhension et maîtrise du système de santé et culture de santé publique, connaissance des organisations hospitalières publiques et privées, connaissance approfondie des réformes hospitalières en vigueur ;
- connaissance et intelligence du fonctionnement des instances et des relations avec les collectivités locales, les autorités sanitaires, les partenaires du CHU ;
- maîtrise des techniques générales de gestion hospitalière et de management ;
- maîtrise des processus financiers et budgétaires ;
- connaissance et expérience en système d'information ;
- maîtrise pratique des techniques de conduite de changement et de gestion de projets ;
- aptitude développée au management individuel et collectif.

Qualités professionnelles requises :

- grande rigueur professionnelle, sens de la confidentialité, du reporting ;
- capacité de travail développée, ténacité, goût pour le résultat, sens de l'effort et de l'engagement ;
- sens développé du travail en équipe, capacités relationnelles ;
- capacité d'autonomie, d'initiative, de synthèse, d'arbitrage et de décision ;
- savoir-faire relationnel et sens de la communication ;
- aptitude à la promotion de l'innovation, à la remise en cause des habitudes, curiosité professionnelle ;
- attachement aux valeurs démocratiques et humanistes du service public hospitalier.

Ce poste nécessite une grande disponibilité personnelle et une implication particulièrement importante, dans un établissement de grande taille engagé dans des projets nombreux et importants de réorganisation.


Historique des versions

Version 1

ANNEXE VIII

CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE SAINT-ÉTIENNE, DU CENTRE HOSPITALIER DE ROANNE ET DES EHPAD COUTOUVRE, MONTAGNY ET PAYS DE BELMONT (LOIRE)

Directeur ou directrice général(e) adjoint(e)

I. - Description de l'établissement

Centre de référence dans de nombreuses disciplines, le CHU de Saint-Etienne assure une fonction de recours et favorise, par son partenariat avec l'université et les grandes écoles stéphanoises (ex. : Ecole nationale supérieure des mines de Saint-Etienne), l'innovation, le progrès des méthodes diagnostiques et thérapeutiques ainsi que leur diffusion.

Il assure également une mission de soins de proximité en liaison avec divers acteurs et dans une logique de réseau de soins. Il anime le territoire dans le cadre du GHT Loire, qui rassemble 15 établissements.

Dans le domaine de la cancérologie, le CHU de Saint-Etienne a fusionné au 1er janvier 2022 avec l'Institut de cancérologie Lucien Neuwirth. Le nouveau pôle de cancérologie a vocation à organiser les activités de recours, de recherche et d'innovation en lien avec l'ensemble des partenaires hospitaliers publics et privés du bassin.

Le CHU de Saint-Etienne fait partie également du GCS HOURAA (hôpitaux universitaires Rhône-Alpes Auvergne) avec les hospices civils de Lyon, le CHU de Grenoble et le CHU de Clermont-Ferrand.

Chiffres clés du CHU :

- 1 920 lits et places (1 210 MCO, 393 PSY, 157 SSR et 160 SLD) ;

- plus de 165 000 séjours ; plus de 500 000 consultations ;

- 93 200 passages aux urgences ;

- 3 400 sorties SMUR (dont 877 hélico) ;

- 25 500 interventions chirurgicales ;

- 222 greffes de cornées, de reins, d'artères, de membranes amniotiques ;

- 164 148 affaires traitées par le SAMU (328 892 appels) ;

- plus de 3 000 naissances ;

- 8 356 professionnels ;

- 704 M€ budget d'exploitation ;

- 25,8 M€ budget d'investissement (hors schéma directeur immobilier).

II. - Description du poste

Le directeur général adjoint agit en concertation et en collaboration avec le directeur général qu'il seconde. Il contribue au management de l'équipe de direction et des services du CHU. Il participe aux structures décisionnelles, au processus de décision, à la définition des lignes stratégique de l'établissement, dirige les services dans son périmètre et par délégation, définit et met en œuvre, régule, contrôle et évalue les plans d'actions. Il représente le DG en tant que de besoin.

Le directeur général adjoint :

- remplace le DG en cas d'indisponibilité et exerce si nécessaire les délégations de signature de tous actes dont il dispose ;

- s'assure de l'information, ou de l'alerte, du DG sur tout sujet le nécessitant ;

- participe aux instances décisionnelles ;

- coordonne l'équipe de direction selon la délégation du DG et, en cas d'absence de celui-ci, anime le comité de direction ;

- assiste le DG pour la définition des orientations stratégiques de l'établissement en lien avec l'ARS et en conformité avec le CPOM ;

- assiste le DG dans la politique territoriale de l'établissement en accord avec le conseil de surveillance et en conformité avec les orientations nationales et territoriales ; contribue à la mise en œuvre la politique définie dans la région et au sein du CHU ;

- propose toutes modalités utiles d'animation des projets stratégiques…

Plus largement, le directeur général adjoint, en lien étroit avec le directeur général, met en œuvre un management participatif se fondant sur la concertation et la capacité de synthèse et de décision, entretient des relations de travail cordiales et efficaces, promeut la reconnaissance mutuelle et la création de la confiance, tant au sein des directions que dans les relations quotidiennes avec les responsables médicaux et universitaires, ainsi qu'avec les services cliniques et médico-techniques. Il tient compte des attentes des usagers, des tutelles, des personnels et des élus, prises en compte dans la politique de management.

III. - Profil recherché

L'emploi s'adresse à un cadre de haut niveau fonctionnaire, ou agent contractuel, avec une expérience minimale de 6 années d'activités professionnelles diversifiées en tant que cadre supérieur sur des fonctions de direction, d'encadrement ou d'expertise et ayant une excellente connaissance des politiques de santé. Une expérience dans une collectivité territoriale serait un plus.

Une expérience significative de responsabilité de management dans des centres hospitaliers ou en CHU est requise.

Il aura déjà exercé des fonctions de management complexe au sein d'un hôpital et des responsabilités multiples ou des fonctions de coordination, notamment dans la conduite de projets de réorganisation.

Connaissances particulières requises :

- compréhension et maîtrise du système de santé et culture de santé publique, connaissance des organisations hospitalières publiques et privées, connaissance approfondie des réformes hospitalières en vigueur ;

- connaissance et intelligence du fonctionnement des instances et des relations avec les collectivités locales, les autorités sanitaires, les partenaires du CHU ;

- maîtrise des techniques générales de gestion hospitalière et de management ;

- maîtrise des processus financiers et budgétaires ;

- connaissance et expérience en système d'information ;

- maîtrise pratique des techniques de conduite de changement et de gestion de projets ;

- aptitude développée au management individuel et collectif.

Qualités professionnelles requises :

- grande rigueur professionnelle, sens de la confidentialité, du reporting ;

- capacité de travail développée, ténacité, goût pour le résultat, sens de l'effort et de l'engagement ;

- sens développé du travail en équipe, capacités relationnelles ;

- capacité d'autonomie, d'initiative, de synthèse, d'arbitrage et de décision ;

- savoir-faire relationnel et sens de la communication ;

- aptitude à la promotion de l'innovation, à la remise en cause des habitudes, curiosité professionnelle ;

- attachement aux valeurs démocratiques et humanistes du service public hospitalier.

Ce poste nécessite une grande disponibilité personnelle et une implication particulièrement importante, dans un établissement de grande taille engagé dans des projets nombreux et importants de réorganisation.