JORF n°0305 du 18 décembre 2020

Un emploi de chef de service est susceptible d'être vacant à l'administration centrale du ministère de la culture. Cet emploi est affecté au secrétariat général, où le titulaire du poste exercera les fonctions de chef du service du numérique.
Date prévisible de vacance de l'emploi : 15 janvier 2021.
Localisation du poste : 182, rue Saint-Honoré, 75001 Paris.

Description de la structure et des fonctions

Dans le cadre de la transformation numérique du ministère de la culture et la création d'un service du numérique (SNUM) au secrétariat général, le ministère de la culture recherche un chef de service du numérique.
Le SNUM a la mission de conduire et coordonner la stratégie numérique du ministère et des organismes placés sous sa tutelle. Au sein du secrétariat général du ministère de la culture, le SNUM comprend deux sous-directions et quatre départements et totalisant 100 agents (catégorie C à A+).
Le chef de service du numérique conduit et coordonne la stratégie numérique du ministère et des organismes placés sous sa tutelle. Il est responsable du SNUM dont il encadre et anime l'équipe.
Garant de l'alignement de l'activité du SNUM sur la stratégie des directions métiers du ministère, il est responsable de la conception, de la mise en œuvre et du maintien en conditions opérationnelles du système d'information, de la sécurité et de sa qualité. Dans ce cadre, il promeut les services du SNUM, dans son organisation et à l'extérieur.
Il conseille les services compétents sur la prise en compte du numérique dans les politiques culturelles et coordonne l'analyse des problématiques transverses liées à l'impact du numérique sur les politiques culturelles. Il contribue au développement de projets innovants dans les secteurs culturels et encourage les expérimentations des acteurs.
Il exerce la mission d'administrateur ministériel des données et organise, dans le respect de la protection des données personnelles et des secrets protégés par la loi, l'action du ministère et des organismes placés sous sa tutelle en matière d'inventaire, de gouvernance, de production, de circulation et d'exploitation des données et contenus culturels.
Sous l'autorité du secrétaire général, il rend compte au comité ministériel du numérique, présidé par la ministre de la Culture, qui définit les objectifs à atteindre et valide le plan d'investissement annuel.
Les principales activités sont les suivantes :
Définition et supervision de la politique SI et de sa mise en œuvre :

- définir les orientations stratégiques SI de l'administration ;
- conseiller et définir la politique du SI de l'administration ;
- suivre l'ensemble des activités de la DNUM/DSI ;
- arbitrer les moyens de la dnum/dsi (études, ressources, budgets, investissements…).

Promotion de la qualité dans les relations avec les partenaires internes :

- organiser, animer et suivre les concertations et échanges entre le secrétaire général et les responsables du système d'information ;
- garantir la qualité de la relation clients-fournisseurs ;
- définir et garantir le respect des contrats de service.

Définition et mise en œuvre d'une politique de « faire ou faire-faire » :

- négocier, maîtriser et suivre les marchés de sous-traitance et leur mise en œuvre ;
- analyser le marché, évaluer les offres de sous-traitance et être force de proposition vis-à-vis de la direction générale ;
- analyser les performances, contrôler la qualité de la sous-traitance.

Communication interne, motivation et animation du personnel de la DNUM/DSI :

- définir et superviser la gestion générale et l'organisation de la DNUM/DSI ;
- gérer et arbitrer les projets pluridisciplinaires impliquant des acteurs géographiquement dispersés ;
- mettre en œuvre des actions d'accompagnement du changement pour les informaticiens.

Supervision des relations avec les prestataires et partenaires extérieurs :

- gérer les relations avec les partenaires SI ;
- suivre les relations avec les organismes partenaires interministériels et extérieurs.

Garant de la sécurité informatique :

- définir et mettre en œuvre la politique de gestion des risques informatiques ;
- garantir la disponibilité la confidentialité, la traçabilité et l'intégrité des systèmes d'information.

Spécificités du poste/Contraintes/Sujétions :
Possibilité d'appel en dehors des heures ouvrées et de travail en astreinte.

Profil recherché

L'organisation numérique du ministère connaissant une profonde évolution, les candidats et candidates devront justifier de leur expérience dans la conduite de tels changements, à la fois dans la définition de la cible, l'association des parties prenantes et la conduite du changement auprès des équipes.
Compétences principales mises en œuvre (cotées sur 4 niveaux : initié - pratique - maîtrise - expert) :
Compétences techniques :

- management des systèmes d'information et alignement stratégique métier (niveau expert) ;
- mise en place d'un plan d'activités et conduite de projets complexes et transverses (niveau expert) ;
- animation de la gouvernance du SI (niveau expert) ;
- animation d'équipes et accompagnement des ressources humaines (niveau expert) ;
- gestion des niveaux de services et fourniture de services (niveau maîtrise) ;
- gestion de la relation avec les parties prenantes internes et de l'offre de service (niveau maîtrise) ;
- accompagnement des services métiers et conduite du changement (niveau expert) ;
- sécurité et homologation SSI (Sécurité des Systèmes d'Information) (niveau maîtrise) ;
- culture d'innovation et usages numériques (niveau maîtrise) ;
- marchés publics (niveau maîtrise).

Savoir-être (compétences comportementales) :

- sens du service et bon relationnel ;
- sens de l'organisation ;
- capacité rédactionnelle ;
- capacité d'analyse et de synthèse ;
- sens de la communication et de la pédagogie ;
- force de conviction ;
- ouverture d'esprit ;
- organisé et réactif ;
- force de proposition et de conseil.

Environnement professionnel

Liaisons hiérarchiques :
Le chef de service du numérique sera rattaché au secrétaire général et à la secrétaire générale adjointe.
Liaisons fonctionnelles :
Il travaille en transversalité avec l'ensemble des services du ministère. Il est en lien avec la DINUM.

Conditions d'emploi

La durée d'occupation est de trois ans, renouvelable une fois. La période probatoire est fixée à six mois.
La rémunération comprend une part fixe comprise entre 70 000 € et 130 000 € bruts par an (hors nouvelle bonification indiciaire et indemnité de résidence). Elle peut être complétée par un complément indemnitaire annuel.

Procédure de recrutement

L'autorité de recrutement et l'autorité dont relève l'emploi à pourvoir sont le secrétaire général du ministère de la culture.
Envoi des candidatures :
Les candidatures doivent être transmises, par la voie hiérarchique, dans un délai de trente jours à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République française, au secrétaire général du ministère de la culture (service des ressources humaines), 182, rue Saint-Honoré, 75033 Paris Cedex 1, et par courriel au haut fonctionnaire à l'encadrement supérieur : [email protected].
Examen des candidatures :
L'autorité de recrutement procède à l'examen des candidatures.
L'audition des candidats et candidates présélectionnés est confiée à l'instance collégiale dont la composition est fixée à l'article 23 du décret n° 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l'Etat.
Le comité chargé d'entendre les candidats et candidates est présidé par le secrétaire général du ministère de la culture ou par son représentant.
Outre son président, le comité comprend :
1° Une personne occupant des fonctions la qualifiant particulièrement en raison de ses compétences dans le domaine des ressources humaines, dont la liste est fixée par arrêté du Premier ministre et du ministre chargé de la fonction publique ;
2° Une personne extérieure à l'administration d'emploi.
La ministre peut, en outre, désigner une autre personne travaillant au sein de l'administration dont relève l'emploi.
A l'issue des auditions, le comité établit un document précisant les appréciations portées sur chaque candidat sélectionné au regard de ses qualifications, compétences, aptitudes, de son expérience professionnelle et de sa capacité à exercer les missions dévolues à l'emploi à pourvoir. Ce document ainsi que la liste des candidats qu'il estime les plus qualifiés pour occuper l'emploi à pourvoir sont communiqués à la ministre.
Les candidats non retenus en sont informés à l'issue de la procédure.

Formation

Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de chef de service suivront, dans les six mois à compter de leur prise de fonction, le séminaire des nouveaux chefs de service. Les personnes n'ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des agents en matière de déontologie, à l'organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu'à la gestion des ressources humaines dans la fonction publique.

Déontologie

L'accès à cet emploi est soumis à une déclaration d'intérêts préalable à la prise de fonctions.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui précédent, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à la nomination par l'autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application de l'article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983.

Références

Loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires.
Décret n° 2008-836 du 22 août 2008 fixant l'échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux administrations de l'Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l'Etat et de ses établissements publics (article 12).
Décret n° 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de directions de l'Etat.
Arrêté du 29 juin 2016 pris pour l'application à certains emplois de responsabilités supérieures des dispositions du décret n° 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de l'Etat.
Arrêté du 27 février 2020 fixant les modalités de recrutement des emplois de direction au ministère de la culture.


Historique des versions

Version 1

Un emploi de chef de service est susceptible d'être vacant à l'administration centrale du ministère de la culture. Cet emploi est affecté au secrétariat général, où le titulaire du poste exercera les fonctions de chef du service du numérique.

Date prévisible de vacance de l'emploi : 15 janvier 2021.

Localisation du poste : 182, rue Saint-Honoré, 75001 Paris.

Description de la structure et des fonctions

Dans le cadre de la transformation numérique du ministère de la culture et la création d'un service du numérique (SNUM) au secrétariat général, le ministère de la culture recherche un chef de service du numérique.

Le SNUM a la mission de conduire et coordonner la stratégie numérique du ministère et des organismes placés sous sa tutelle. Au sein du secrétariat général du ministère de la culture, le SNUM comprend deux sous-directions et quatre départements et totalisant 100 agents (catégorie C à A+).

Le chef de service du numérique conduit et coordonne la stratégie numérique du ministère et des organismes placés sous sa tutelle. Il est responsable du SNUM dont il encadre et anime l'équipe.

Garant de l'alignement de l'activité du SNUM sur la stratégie des directions métiers du ministère, il est responsable de la conception, de la mise en œuvre et du maintien en conditions opérationnelles du système d'information, de la sécurité et de sa qualité. Dans ce cadre, il promeut les services du SNUM, dans son organisation et à l'extérieur.

Il conseille les services compétents sur la prise en compte du numérique dans les politiques culturelles et coordonne l'analyse des problématiques transverses liées à l'impact du numérique sur les politiques culturelles. Il contribue au développement de projets innovants dans les secteurs culturels et encourage les expérimentations des acteurs.

Il exerce la mission d'administrateur ministériel des données et organise, dans le respect de la protection des données personnelles et des secrets protégés par la loi, l'action du ministère et des organismes placés sous sa tutelle en matière d'inventaire, de gouvernance, de production, de circulation et d'exploitation des données et contenus culturels.

Sous l'autorité du secrétaire général, il rend compte au comité ministériel du numérique, présidé par la ministre de la Culture, qui définit les objectifs à atteindre et valide le plan d'investissement annuel.

Les principales activités sont les suivantes :

Définition et supervision de la politique SI et de sa mise en œuvre :

- définir les orientations stratégiques SI de l'administration ;

- conseiller et définir la politique du SI de l'administration ;

- suivre l'ensemble des activités de la DNUM/DSI ;

- arbitrer les moyens de la dnum/dsi (études, ressources, budgets, investissements…).

Promotion de la qualité dans les relations avec les partenaires internes :

- organiser, animer et suivre les concertations et échanges entre le secrétaire général et les responsables du système d'information ;

- garantir la qualité de la relation clients-fournisseurs ;

- définir et garantir le respect des contrats de service.

Définition et mise en œuvre d'une politique de « faire ou faire-faire » :

- négocier, maîtriser et suivre les marchés de sous-traitance et leur mise en œuvre ;

- analyser le marché, évaluer les offres de sous-traitance et être force de proposition vis-à-vis de la direction générale ;

- analyser les performances, contrôler la qualité de la sous-traitance.

Communication interne, motivation et animation du personnel de la DNUM/DSI :

- définir et superviser la gestion générale et l'organisation de la DNUM/DSI ;

- gérer et arbitrer les projets pluridisciplinaires impliquant des acteurs géographiquement dispersés ;

- mettre en œuvre des actions d'accompagnement du changement pour les informaticiens.

Supervision des relations avec les prestataires et partenaires extérieurs :

- gérer les relations avec les partenaires SI ;

- suivre les relations avec les organismes partenaires interministériels et extérieurs.

Garant de la sécurité informatique :

- définir et mettre en œuvre la politique de gestion des risques informatiques ;

- garantir la disponibilité la confidentialité, la traçabilité et l'intégrité des systèmes d'information.

Spécificités du poste/Contraintes/Sujétions :

Possibilité d'appel en dehors des heures ouvrées et de travail en astreinte.

Profil recherché

L'organisation numérique du ministère connaissant une profonde évolution, les candidats et candidates devront justifier de leur expérience dans la conduite de tels changements, à la fois dans la définition de la cible, l'association des parties prenantes et la conduite du changement auprès des équipes.

Compétences principales mises en œuvre (cotées sur 4 niveaux : initié - pratique - maîtrise - expert) :

Compétences techniques :

- management des systèmes d'information et alignement stratégique métier (niveau expert) ;

- mise en place d'un plan d'activités et conduite de projets complexes et transverses (niveau expert) ;

- animation de la gouvernance du SI (niveau expert) ;

- animation d'équipes et accompagnement des ressources humaines (niveau expert) ;

- gestion des niveaux de services et fourniture de services (niveau maîtrise) ;

- gestion de la relation avec les parties prenantes internes et de l'offre de service (niveau maîtrise) ;

- accompagnement des services métiers et conduite du changement (niveau expert) ;

- sécurité et homologation SSI (Sécurité des Systèmes d'Information) (niveau maîtrise) ;

- culture d'innovation et usages numériques (niveau maîtrise) ;

- marchés publics (niveau maîtrise).

Savoir-être (compétences comportementales) :

- sens du service et bon relationnel ;

- sens de l'organisation ;

- capacité rédactionnelle ;

- capacité d'analyse et de synthèse ;

- sens de la communication et de la pédagogie ;

- force de conviction ;

- ouverture d'esprit ;

- organisé et réactif ;

- force de proposition et de conseil.

Environnement professionnel

Liaisons hiérarchiques :

Le chef de service du numérique sera rattaché au secrétaire général et à la secrétaire générale adjointe.

Liaisons fonctionnelles :

Il travaille en transversalité avec l'ensemble des services du ministère. Il est en lien avec la DINUM.

Conditions d'emploi

La durée d'occupation est de trois ans, renouvelable une fois. La période probatoire est fixée à six mois.

La rémunération comprend une part fixe comprise entre 70 000 € et 130 000 € bruts par an (hors nouvelle bonification indiciaire et indemnité de résidence). Elle peut être complétée par un complément indemnitaire annuel.

Procédure de recrutement

L'autorité de recrutement et l'autorité dont relève l'emploi à pourvoir sont le secrétaire général du ministère de la culture.

Envoi des candidatures :

Les candidatures doivent être transmises, par la voie hiérarchique, dans un délai de trente jours à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République française, au secrétaire général du ministère de la culture (service des ressources humaines), 182, rue Saint-Honoré, 75033 Paris Cedex 1, et par courriel au haut fonctionnaire à l'encadrement supérieur : [email protected].

Examen des candidatures :

L'autorité de recrutement procède à l'examen des candidatures.

L'audition des candidats et candidates présélectionnés est confiée à l'instance collégiale dont la composition est fixée à l'article 23 du décret n° 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l'Etat.

Le comité chargé d'entendre les candidats et candidates est présidé par le secrétaire général du ministère de la culture ou par son représentant.

Outre son président, le comité comprend :

1° Une personne occupant des fonctions la qualifiant particulièrement en raison de ses compétences dans le domaine des ressources humaines, dont la liste est fixée par arrêté du Premier ministre et du ministre chargé de la fonction publique ;

2° Une personne extérieure à l'administration d'emploi.

La ministre peut, en outre, désigner une autre personne travaillant au sein de l'administration dont relève l'emploi.

A l'issue des auditions, le comité établit un document précisant les appréciations portées sur chaque candidat sélectionné au regard de ses qualifications, compétences, aptitudes, de son expérience professionnelle et de sa capacité à exercer les missions dévolues à l'emploi à pourvoir. Ce document ainsi que la liste des candidats qu'il estime les plus qualifiés pour occuper l'emploi à pourvoir sont communiqués à la ministre.

Les candidats non retenus en sont informés à l'issue de la procédure.

Formation

Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de chef de service suivront, dans les six mois à compter de leur prise de fonction, le séminaire des nouveaux chefs de service. Les personnes n'ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des agents en matière de déontologie, à l'organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu'à la gestion des ressources humaines dans la fonction publique.

Déontologie

L'accès à cet emploi est soumis à une déclaration d'intérêts préalable à la prise de fonctions.

Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui précédent, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à la nomination par l'autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application de l'article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983.

Références

Loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires.

Décret n° 2008-836 du 22 août 2008 fixant l'échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux administrations de l'Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l'Etat et de ses établissements publics (article 12).

Décret n° 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de directions de l'Etat.

Arrêté du 29 juin 2016 pris pour l'application à certains emplois de responsabilités supérieures des dispositions du décret n° 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de l'Etat.

Arrêté du 27 février 2020 fixant les modalités de recrutement des emplois de direction au ministère de la culture.