Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile

Chapitre I : DISPOSITIONS COMMUNES

Article R231-1

Ce texte est une simplification générée par une IA.
Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.

Délivrance de l'attestation d'enregistrement aux citoyens de l'UE

Résumé En s'enregistrant, les citoyens de l'UE reçoivent une attestation, mais elle ne donne pas le droit de rester en France ni ne sert pour d'autres démarches.

Une attestation, conforme au modèle fixé par arrêté du ministre chargé de l'immigration, est remise immédiatement par le maire aux citoyens de l'Union européenne qui se soumettent à l'obligation d'enregistrement prévue à l'article L. 231-2. Cette attestation n'établit pas un droit au séjour. Sa possession ne peut en aucun cas constituer une condition préalable à l'exercice d'un droit ou à l'accomplissement d'une autre formalité administrative.
Le maire communique au préfet et, à Paris, au préfet de police, copie des attestations qu'il a délivrées.

Article R231-2

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Demande d'informations sur les antécédents judiciaires

Résumé Le préfet peut demander des informations sur le passé judiciaire d'un étranger, et doit obtenir une réponse dans les deux mois. Le ministre de l'intérieur doit aussi répondre rapidement aux demandes sur les Français.

Aux fins d'établir si le ressortissant mentionné au premier alinéa de l'article L. 233-1, et aux articles L. 233-2 et L. 233-3 représente un danger pour l'ordre public ou la sécurité publique, le préfet peut, s'il le juge indispensable et sans y procéder de façon systématique, lors de la délivrance de l'attestation d'enregistrement, demander aux autorités de l'Etat membre de l'Union européenne d'origine de l'étranger et, éventuellement, à d'autres Etats membres, des renseignements sur les antécédents judiciaires de l'intéressé. Les autorités ainsi consultées bénéficient d'un délai de deux mois pour faire parvenir leur réponse.
Lorsque le ministre de l'intérieur est saisi par les autorités d'un Etat membre de l'Union européenne d'une demande visant les antécédents judiciaires d'un ressortissant français, il transmet sa réponse dans un délai de deux mois.

Article R231-3

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Dispense du contrat d'intégration républicaine pour les citoyens de l'UE et leurs familles

Résumé Les citoyens de l'UE et leurs familles n'ont pas besoin de signer ce contrat.

Les citoyens de l'Union européenne et les ressortissants mentionnés à l'article L. 200-4 sont dispensés de la signature du contrat d'intégration républicaine prévu au second alinéa de l'article L. 413-2.