JORF n°0067 du 20 mars 2022

Arrêté du 14 mars 2022

La ministre du travail, de l'emploi et de l'insertion et le garde des sceaux, ministre de la justice,

Vu le code du travail, notamment ses articles L. 1441-4, L. 1441-5 et R. 1441-1 à R. 1441-12 ;

Vu le décret n° 2021-1102 du 19 août 2021 fixant la composition des conseils de prud'hommes ;

Vu l'arrêté du 20 décembre 2021 fixant le tableau de répartition entre les sections du conseil de prud'hommes pour le mandat prud'homal 2023-2025 ;

Vu la présentation des résultats enregistrés au Haut Conseil du dialogue social le 26 mai 2021 et le 7 juillet 2021 ;

Vu l'avis du Conseil supérieur de la prud'homie en date du 18 février 2022,

Arrêtent :

Article 1

Ce texte est une simplification générée par une IA.
Il n'a pas de valeur légale et peut contenir des erreurs.

Attribution des sièges de conseillers prud'hommes pour le mandat 2023-2025

Résumé L'article 1 dit qui aura les sièges de conseillers prud'hommes de 2023 à 2025.

Les sièges de conseillers prud'hommes pour le mandat prud'homal 2023-2025 sont attribués conformément au tableau annexé au présent arrêté par conseil de prud'hommes, collège et section aux organisations syndicales et professionnelles suivantes :

1° Organisations syndicales :

- la Confédération française démocratique du travail (CFDT) ;

- la Confédération générale du travail (CGT) ;

- la Confédération générale du travail-Force ouvrière (CGT-FO) ;

- la Confédération française de l'encadrement-Confédération générale des cadres (CFE-CGC) ;

- la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) ;

- l'Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) ;

- l'Union syndicale Solidaires (SOLIDAIRES) ;

- le Syndicat des travailleurs corses / Sindicatu di i travagliadori corsi (STC) ;

- l'Union générale des travailleurs de Guadeloupe (UGTG) ;

- la Confédération générale du travail de la Guadeloupe (CGTG) ;

- la Centrale démocratique martiniquaise des travailleurs (CDMT) ;

- le Syndicat Professionnel de l'Enseignement Libre Catholique (SPELC) ;

- la Confédération générale du travail de la Martinique - Fédération syndicale mondiale (CGTM-FSM) ;

- le Syndicat autonome SOPRA (TRAID-UNION) ;

- la Centrale syndicale des travailleurs martiniquais (CSTM) ;

- le Syndicat national Indépendant des Agents du Crédit Agricole Mutuel (SNIACAM) ;

- le syndicat Solidaire, Unitaire et Démocratique - RATP (SUD RATP) ;

- l'Union Générale des Travailleurs de la Martinique (UGTM) ;

- le Syndicat national des pilotes de lignes France ALPA (SNPLF ALPA) ;

- le Syndicat autonome des Navigants du groupe Air France (SNGAF) ;

- l'Union Régionale 974 (UR974) ;

2° Organisations professionnelles :

- le Mouvement des Entreprises de France (MEDEF) ;

- la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises (CPME) ;

- l'Union des entreprises de Proximité (U2P) ;

- la Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FNSEA) ;

- la Fédération des Particuliers Employeurs de France (FEPEM) ;

- l'Union Des employeurs de l'Economie Sociale et solidaire (UDES) ;

- la Confédération de l'Enseignement Privé Non-Lucratif (CEPNL) ;

- la Fédération des Entreprises du Spectacle vivant, de la musique, de l'Audiovisuel et du Cinéma (FESAC) ;

- le Groupement National des Chaînes Hôtelières (GNC) ;

- l'Association des Responsables de Copropriété (ARC) ;

- la Fédération Nationale des Cinémas Français (FNCF).

Article 2

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Recours contre l'arrêté devant le Conseil d'État

Résumé Une organisation syndicale peut contester cet arrêté devant le Conseil d'État, mais doit le faire dans les 15 jours après sa publication.

Le présent arrêté est susceptible de recours devant le Conseil d'Etat par une organisation syndicale ou professionnelle dans un délai de quinze jours à compter de sa publication.

Article 3

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Responsabilité de l'exécution de l'arrêté

Résumé La ministre du travail et le ministre de la justice doivent faire appliquer cet arrêté, qui sera publié dans le journal officiel.

La ministre du travail, de l'emploi et de l'insertion et le garde des sceaux, ministre de la justice, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait le 14 mars 2022.

La ministre du travail, de l'emploi et de l'insertion,

Elisabeth Borne

Le garde des sceaux, ministre de la justice,

Éric Dupond-Moretti