Le Conseil supérieur de l'audiovisuel,
Vu la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses articles 29 et 29-1 ;
Vu la décision du Conseil supérieur de l'audiovisuel n° 2012-316 du 10 mai 2012, modifiée par la décision n° 2015-467 du 23 novembre 2015 et reconduite par la décision n° 2017-79 du 15 février 2017, autorisant la SAS Eurocontact à exploiter par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dans les zones de Dourdan, Nemours et Provins un service de radio de catégorie B dénommé Evasion ;
Vu la décision du Conseil n° 2013-127 du 15 janvier 2013, modifiée par la décision n° 2015-468 du 23 novembre 2015, autorisant la SAS Eurocontact à exploiter par voie hertzienne terrestre en mode numérique dans la zone de Paris un service de radio de catégorie B dénommé Evasion ;
Vu la convention conclue entre le Conseil supérieur de l'audiovisuel et la SAS Eurocontact ;
Considérant que les dispositions du dernier alinéa du II de l'article 29-1 de la loi du 30 septembre 1986 précitée prévoient que « les services déjà autorisés en mode analogique, conformément à l'article 29, faisant l'objet d'une autorisation d'émettre en mode numérique, à l'occasion des premiers appels à candidatures du Conseil supérieur de l'audiovisuel en application des dispositions du présent article, se voient accorder une prolongation de plein droit de leurs autorisations d'émettre en mode analogique de cinq ans » ; que la SAS Eurocontact est autorisée dans les zones de Dourdan, Nemours et Provins en mode analogique sur le fondement de l'article 29 de la loi précitée ; qu'elle est également autorisée à émettre en mode numérique dans la zone de Paris sur le fondement de l'article 29-1 de la même loi ; qu'en conséquence, il y a eu lieu de prolonger de cinq ans l'autorisation d'émettre par voie hertzienne terrestre en mode analogique dont elle bénéficie dans les zones de Dourdan, Nemours et Provins ;
Après avoir délibéré,
Décide :