Un emploi de sous-directeur est susceptible d'être créé à l'administration centrale du ministère de la culture et de la communication. Cet emploi est affecté à la direction générale des médias et des industries culturelles où le titulaire du poste exercera les fonctions de sous-directeur de la presse écrite et des métiers de l'information.
Sous l'autorité du directeur général, assisté d'un chef de service, le sous-directeur de la presse écrite et des métiers de l'information est chargé d'élaborer les projets de loi et de décret relatifs à la presse écrite ou aux professions ou entreprises qui y participent. Il contribue à la préparation de la législation et de la réglementation concernant les services de la presse en ligne et suit les négociations relatives aux professions du secteur des médias et des services de la presse en ligne. Il assure la gestion de fonds d'aide à la presse écrite. Il suit l'activité des organismes du secteur de la presse soumis à statut particulier ou liés à l'Etat par convention. La sous-direction assure le secrétariat des commissions consultées avant l'octroi d'aides directes à la presse ainsi que le secrétariat de la commission paritaire des publications et agences de presse.
Tous renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de Mme Laurence Franceschini, directeur du développement des médias (téléphone : 01-42-75-56-93), et auprès de M. Joseph-Antoine d'Ornano, secrétaire général de la direction du développement des médias (téléphone : 01-42-75-57-22).
Conformément aux dispositions du décret n° 55-1226 du 19 septembre 1955 modifié relatif aux conditions de nomination et d'avancement dans les emplois de chef de service, de directeur adjoint et de sous-directeur des administrations centrales de l'Etat, les candidatures doivent être transmises, par la voie hiérarchique, au secrétaire général du ministère de la culture et de la communication avec copie au chef du service du personnel et des affaires sociales, 182, rue Saint-Honoré, 75033 Paris Cedex 01, dans un délai de trente jours à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République française.
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